La jeune femme se tenait devant la porte, fébrile. Elle prit une grande inspiration en se redressant, puis cogna trois fois. « Professeure Montgomery? » Elle tendit l’oreille et attendit. « Hmm… » Était-elle arrivée trop tôt? Elle était pourtant certaine de bien avoir regardé l’heure avant de quitter le dortoir. À moins qu’elle ne se soit trompée de date? Elle se mordilla la lèvre tandis qu’elle réfléchissait. Elle ne voulait pas faire faux-bond à l’enseignante, mais elle ne savait pas si ce serait approprié de l’attendre afin de confirmer quand elles étaient censées se voir. « Une dernière fois… Et si je n’ai pas de réponse, je pars, » se dit-elle à voix haute avant de cogner à nouveau à la porte.
Le silence continua de régner. La sorcière soupira. Elle s’apprêtait à rentrer chez elle lorsqu’elle aperçut enfin celle qu’elle cherchait au bout du corridor. Son expression se ragaillardit aussitôt. Elle alla à la rencontre de l’éducatrice tout en lui envoyant la main.
- Bonjour, Professeure Montgomery. Je suis heureuse de vous voir; j’avais peur de m’être présentée au mauvais moment. Vous allez bien?
Maribel emboîta le pas à l’enseignante. Sa démarche légère témoignait de sa bonne humeur. Elle faisait de la petite conversation en attendant qu’elles se rendent à destination. Elle mentionna évidemment sa dernière expérience culinaire : des biscuits craquants au moka. Elle en avait d’ailleurs amené quelques-uns afin de les offrir à sa compagne en guise de remerciement pour une journée qu’elle savait déjà qu’elle adorerait.
- Comment êtes-vous tombés sur ces oisillons d’Augurey?
Le phénix irlandais, tristement réputé comme présageant la mort de façon totalement erronée, était de nature plutôt timide. C’était pourquoi la Poufsouffle trouvait la découverte de progénitures sans aucun parents si surprenante. Quoique d’un autre côté, c’était un coup de chance pour ces créatures qui auraient autrement périt puisque laissés à eux-mêmes.
- Ils doivent être adorables… Oh, j’ai hâte de les voir! Merci encore de me permettre de vous assister. Je sais que de nombreux élèves mourraient d’envie de vivre une telle expérience.
Le silence continua de régner. La sorcière soupira. Elle s’apprêtait à rentrer chez elle lorsqu’elle aperçut enfin celle qu’elle cherchait au bout du corridor. Son expression se ragaillardit aussitôt. Elle alla à la rencontre de l’éducatrice tout en lui envoyant la main.
- Bonjour, Professeure Montgomery. Je suis heureuse de vous voir; j’avais peur de m’être présentée au mauvais moment. Vous allez bien?
Maribel emboîta le pas à l’enseignante. Sa démarche légère témoignait de sa bonne humeur. Elle faisait de la petite conversation en attendant qu’elles se rendent à destination. Elle mentionna évidemment sa dernière expérience culinaire : des biscuits craquants au moka. Elle en avait d’ailleurs amené quelques-uns afin de les offrir à sa compagne en guise de remerciement pour une journée qu’elle savait déjà qu’elle adorerait.
- Comment êtes-vous tombés sur ces oisillons d’Augurey?
Le phénix irlandais, tristement réputé comme présageant la mort de façon totalement erronée, était de nature plutôt timide. C’était pourquoi la Poufsouffle trouvait la découverte de progénitures sans aucun parents si surprenante. Quoique d’un autre côté, c’était un coup de chance pour ces créatures qui auraient autrement périt puisque laissés à eux-mêmes.
- Ils doivent être adorables… Oh, j’ai hâte de les voir! Merci encore de me permettre de vous assister. Je sais que de nombreux élèves mourraient d’envie de vivre une telle expérience.