- Vous allez nous manquez Travers, mais j'espère que vous pourrez autant être efficace dans votre futur métier à Poudlard que vous l'étiez en tant qu'Auror auprès de nous.
- Merci pour votre sollicitation.
Jonathan serrait la main de son ancien chef avant de partir et se rendre chez lui afin d'aller préparer ses affaires. Et malgré que certains de ses collègues aurors auraient voulu faire une fête pour lui, il avait refusé aimablement. Pas question de boire la veille de son départ pour Poudlard. Chez lui, il préparait ses affaires en usant de magie et en étant aidé par son majordome qui l'appréciait bien plus que les anciens propriétaires. Dès que les valises étaient presque fini, il remerciait son majordome en lui demandant d'aller préparer le repas de ce soir.
Cela ne mettait pas trop longtemps pour qu'il vienne à finir ses valises, si bien qu'après quoi il descendait dans la salle à manger où il dégustait son repas du soir en prenant son temps. Il mit une bonne demi-heure avant de finir son repas, remerciant le majordome une fois celui-ci finie. Ne voulant pas se coucher tard afin de vérifier le lendemain qu'il avait tout ce qu'il faut, il s'endormit avant que la pénombre ne soit totalement installé. A l'aurore, Jonathan était déjà debout et souriait.
- Tout y est. Winston, je te laisse prendre soin de la demeure en mon absence. Je ne serais de retour que dans plusieurs mois. Porte toi bien.
Le majordome le saluait en le regardant partir pour la gare. Il savait que partir aussitôt ne servait pas à grand-chose, mais Jonathan voulait faire une petite escale par le chemin de traverse afin de se rappeller du trajet qu'il avait fait lorsqu'il avait prit le poudlard express pour la première fois et qu'il avait acheté les fournitures nécessaires. Cela le faisait sourire et passer devant toute les boutiques lui rappelait de bons moments. Hélas, la nostalgie de se souvenir devait prendre fin lorsqu'il voyait l'heure et il se rendait à la gare où il passait tranquillement le passage magique pour se retrouver sur les quais. Voyant le nombre d'élèves, il souriait intérieurement en gardant son regard perçant habituel qu'il tenait de sa mère.
Etant arrivé plus tard qu'il ne le pensait, il n'avait pas eu à attendre trop longtemps avant l'ouverture des portes des wagons. Si bien qu'il montait en trouvant une place dans un wagon de libre. Il plaçait ses valises dans le range-bagage avant de s'installer et commencer à lire la gazette du sorcier.