Ma vie

Je m'appelle Moïra McBlair, et je suis née dans les Highlands. A l'époque, la dernière guerre du monde magique était assez récente, on en parlait encore beaucoup. Je suis née dans cette époque où, heureux de la victoire, les sorciers fêtait leur liberté retrouvée... de toutes les manières possibles.
Mon histoire n'est pas bien passionnante, comparée à celle de la génération précédente. Je n'ai connu aucun conflit, aucune guerre, et j'ai eu une vie relativement tranquille.

Invernesse est une grande ville. C'est peu de le dire, puisqu'elle est le centre administratif des Highlands écossais, et le plus gros pôle d'attraction de la région. La population dense comprend des sorciers aussi bien que des mordus, et j'ai la chance d'avoir grandi dans une famille qui n'était pas fermée au monde non-magique. Papa et maman m'ont toujours dit que nous partagions le monde avec les moldus, et que nous devons savoir comment ils fonctionnent pour parvenir à vivre avec eux sans éveiller les soupçons. Savoir s'habiller comme des moldus, savoir utiliser le matériel électrique des moldus, et surtout savoir comment fonctionne leur monde, est important pour ne pas avoir à vivre caché. Sans compter qu'ils ont quand-même un sacré paquet d'inventions vraiment cool.

Mes parents se sont rendu compte assez tôt que j'étais une métamorphomage, le jour où je me suis réveillée d'une sieste en pleurant après un cauchemar. A cause de la peur, je me suis retrouvée avec les cheveux gris acier. Ma couleur naturelle étant le brun chocolat, ça leur a légèrement mis la puce à l'oreille. Du coup, ils ont préféré me garder à la maison le temps que j'apprenne à mieux contrôler cette capacité, et les seuls personnes que j'ai pu rencontrer jusqu'à mes six ans étaient des sorciers.
Il faut dire que je ne me suis jamais montrée très accommodante, comme môme. Je piquais des colères pour un rien, je faisais des caprices monstrueux... Quand je voulais quelque chose, je n'arrêtais pas tant que je ne l'avais pas eu – a moins que je ne finisse par tomber de fatigue à force de piquer mes crises. Et ça arrivait souvent, parce-que mon obstination ne sortait pas de nulle part. Papa et maman n'étaient pas du genre à céder à mes caprices.
Tout ça pour dire que je ne cherchait absolument pas à refréner mes émotions, et que mes cheveux suivaient la cadence quand j'étais enfant. Du coup, j'ai passé toute la période crèche-maternelle chez mes parents. Ce sont eux qui ont commencé à m'apprendre à lire et à écrire, et je me souviens de quelques fois où ma main mal assurée d'enfant traçait des lettres capitales sur une feuille blanche sous le regard attendri de mon père.

J'ai vraiment eu une famille formidable. Maman travaillait au ministère, au département de contrôle et de régulation des créatures magiques. Elle voyageait souvent, je la voyais peu, mais elle ramenait toujours énormément de souvenirs pour papa et moi. Sans même parler des histoires... Papa travaillait dans une maison de disque moldu. Il disait que ça nous permettait de mieux nous mélanger avec eux à la loyal, sans avoir recours à des sortilèges pour leur embrouiller l'esprit. Et je ne me plains pas, parce-qu'il ramenait toujours des échantillons de son travail.

J'ai grandi baignée de ce mélange culturel très riche. Papa mettait toujours de la musique à la maison, parfois d'origine moldue, parfois venant du monde des sorciers, issue de dizaines de styles différents. Il ne chantait pas très bien, mais ça nous arrivait souvent de chanter ensembles pendant qu'on préparait de véritables festins pour fêter dignement le retour de maman quand elle rentrait de ses voyages. On mettait plus de farine par terre que dans les plats, mais on s'amusait beaucoup.

Quand j'ai eu six ans, mes parents m'ont inscrit dans une école primaire moldue. Je maîtrisait beaucoup mieux mes transformations, et en faisant un effort je pouvais même empêcher mes cheveux de changer de couleur quand j'étais sous le coup d'une émotion trop forte. Mes parents m'avaient bien fait comprendre qu'il était important qu'aucun moldu ne voit mes cheveux changer de couleur. Malgré le risque, ils voulaient vraiment que je fasse cette expérience. Je le voulais aussi, après tout mon père passait le plus gros de ses journées chez les moldus et je voulais découvrir le monde dans lequel il vivait son quotidien, alors j'ai fais tous les efforts possibles pour dissimuler ce que j'étais. Je m'en suis bien sorti, je trouve.

Déjà à l'époque, j'étais curieuse et extravertie. Mes parents ne m'avaient pas appris à être timide, ils m'avaient toujours encouragée à poser mes questions et à me renseigner. J'ai littéralement harcelé les autres enfants pour en apprendre autant que possible sur eux. Je leur demandais en quoi consistait le travail de leurs parents, les dessins animés qu'ils aimaient bien, la musique qu'ils écoutaient... Mes maîtres d'école étaient tout autant l'objet de ma curiosité, et il m'est arrivé de poser des question carrément déplacées.. Genre, s'ils avaient des amoureux, si ils regardaient souvent la télé chez eux... Il fallait dire que, dans leur volonté de s'intégrer aussi bien dans le monde moldu que sorcier, mes parents avaient fait un effort pour moderniser notre maison. Un avait le téléphone, la télévision, et même un ordinateur familial. En pleine ville, ça aurait été malheureux de ne pas réussir à faire marcher tout ça... Et puis ça permettait de donner le change aux moldus que nous fréquentions.

Mais si, la semaine, j'apprenais tout ce que je pouvais sur les moldus, mes week-end et mes vacances étaient consacrées à mon apprentissage du monde de la magie. Mes parents m'expliquaient ce que je devais savoir. Le ministère dirigeait le monde magique du royaume unis, nous devions cacher notre magie aux moldus... Le soir, nous écoutions la radio pour avoir l'actualité coté sorciers, nous recevions régulièrement la visite d'amis de mes parents, où alors nous allions nous-même les voir... Je n'ai pas grand chose à raconter à vrai dire, après tout je suis née dans ce monde-là, donc j'imagine que tout va un peu de soi pour moi.

Et dans tout ça, le plus important pour moi... La musique. J'en écoutais tout le temps. Mon père n'avait même pas besoin de me pousser à l'écouter, j'allais de moi-même allumer la radio ou la chaîne hi-fi. Je pouvais passer des heures à simplement rester assise et écouter les paroles et les mélodies, parce-que les chansons aussi ont des choses à nous apprendre. Plus même que des informations brutes ou factuelles, elles font toute passer un état d'esprit, une pensée, une vision de la vie. Quand j'écoutais de la musique, j'avais l'impression de réellement vivre quelque chose d'intense, de passionnant. C'est avec tout le naturel du monde que je chantait avec mes chanteurs préférés, et il arrivait souvent que, sous le coup d'une émotion forte, les paroles de certaines chansons me viennent spontanément en tête. Quand on récitait des poésies à l'école, je ne pouvais pas m'empêcher de les coller sur une mélodie. Parfois j'en improvisais une sur le coup, parfois les mots se collaient naturellement sur une chanson que j'avais écouté. Si cela a surprit mes maîtres d'école, ils ont finit par s'y faire... Après tout, j'apprenais mes poésies, même si ma manière de les réciter était spéciale.

De tout les style musicaux, cela dit, il y en a un qui est rapidement devenu mon préféré. J'adorais écouter du metal, j'adorais les mélodies, j'adorais les sons lourds, la guitare électrique, les voix intenses des musiciens, les sujets de leurs textes... Je n'ai jamais été très rose et guimauve, il faut dire. J'aimais être mise à l'épreuve, et beaucoup de ces chansons me faisaient vibrer parce-qu'elles abordaient des sujets sérieux, même si je ne comprenais pas forcément tout à l'époque. Il y avait une résonance.

Ainsi se déroulai mon enfance. Pendant les vacances scolaires, nous prenions souvent du temps pour visiter de la famille en dehors d'Invernesse. Maman avait un frère qui vivait dans un véritable château hanté, et je m'amusait beaucoup à jouer avec les fantômes qui y vivaient. Mon père était fils unique, mais ses parents vivaient assez loin, dans un village sur les rives du loch Naver, et on allait les voir au moins deux semaines chaque été. Je n'ai jamais connu mes grands-parents du coté de ma mère, ils sont tous les deux morts pendant la dernière guerre magique, mais maman m'en parlait souvent. Nous avions même quelques photos.

Les années passaient, et je grandissais. A force de me gaver de musique, j'avais envie de devenir comme ces chanteurs, de vivre de cette passion et de parvenir à faire ressentir aux autres autant de choses que j'en ressentais moi-même à travers ces œuvres. Ce désir n'a fait que croître à mesure que le temps passait, et aujourd'hui encore je suis plus déterminée que jamais à réaliser ce rêve. Le jour où j'en ai fait part à papa, il a décidé de m'inscrire à des cours de chant. J'avais 9 ans, je savais qu'il ne me restait plus que deux ans avant d'entrer au collège, où je serais interne et où j'aurais moins de libertés à ce niveau, alors j'ai profité de ces deux années pour en apprendre autant que je le pouvais.

Ma professeur s'appelait Monica. Je la voit encore quand je rentre chez mes parents à Invernesse pour les vacances scolaires, d'ailleurs. C'est une moldue, alors elle est convaincue que j'ai simplement rejoint un internat huppé où on n'a pas le droit à internet, mais je l'adore. Pendant deux ans, elle m'a enseigné les bases, les exercices permettant de développer ma voix, des exercices de respiration... Des exercices que je met un point d'honneur à effectuer chaque jour, même à Poudlard.

Parce-qu'il est enfin temps d'y venir. Comme tous les enfants sorciers, lorsque j'ai eu 11 ans, j'ai reçu cette fameuse lettre. Mon inscription dans cette fameuse école de sorcellerie, la liste des fournitures, les règlements... J'étais très excitée. Ma mère a écourté son voyage pour être avec moi lors de cet événement, et nous sommes tous les trois allé faire mes premières courses de rentrée ensemble au chemin de Traverse, à Londres. Faire faire des uniformes, acheter les livres dont j'allais avoir besoin pour mes cours, les fournitures... Et bien entendu, la fameuse baguette magique.
L'expérience fut particulière... Et incroyable.
Une baguette en bois d'ébène, un cœur en crin de kelpy, 28cm. Quand ma main a touché le manche de la baguette, je me suis senti presque extatique. Mes doigts fourmillaient au contact du bois. Il m'a fallut une bonne minute pour sortir de mon hébétude. Quand j'ai enfin réussi à m'arracher à la contemplation de ma nouvelle baguette sous le regard amusé de mes parents, nous étions arrivés devant une ménagerie. Pour fêter ma première rentrée à Poudlard, et puisque les animaux sont autorisés, ils proposaient de m'offrir mon premier animal de compagnie...
Quand je l'ai vu, le coup de cœur a été instantané. Un hibou moyen-duc au plumage brun-roux, aux yeux dorés... Je suis tombée sous le charme. Il était tout ébouriffé, d'une douceur incroyable, encore jeune, le courant est immédiatement passé entre nous. Je l'ai appelé Silk.

Cette journée restera gravée dans ma mémoire à jamais comme un des meilleurs jours de ma vie. Pas juste parce-qu'on a acheté pleins de trucs, mais surtout parce-que j'adore mon hibou, que j'avais mes deux parents avec moi, et que ce fut mes véritables débuts en tant que sorcière. Bientôt, j'allais entrer à Poudlard, commencer à véritablement apprendre la magie.

Je me souviens que mes parents avaient râlé, bien que ce fut plus pour la forme qu'autre chose. Après tout, passer par Londres pour prendre le Poudlard Express représentait un gros détour pour nous. Cela dit, j'étais plus excitée que contrariée. J'allais pouvoir rencontrer les autres élèves dans le train et commencer à me familiariser avec l'univers dans lequel je rentrais à pieds joints. J'avais déjà eu l'occasion de mettre la main sur un exemplaire de l'histoire de Poudlard, je n'étais donc pas totalement en terrain inconnu, mais je n'avais pas non plus retenu le livre par cœur et j'avais hâte de découvrir tout ça par moi-même.

Mon premier trajet à bord du Poudlard Express n'a pas eu grand chose de notable. En revanche, je savourais d'avance ma scolarité dans un établissement magique, où je n'aurais pas à me cacher en permanence. J'étais si enthousiaste que mes cheveux étaient restés jaune vifs pendant tout le trajet. La gare de Pré-au lard, la balade en barque jusqu'au château... Je vous ferait grâce des détails, toute personne qui lira ces lignes sait déjà à quel point ça peut être impressionnant. Nous sommes arrivés aux portes du château, enfin, où nous avons été conduits jusqu'à la grande salle, où tous les élèves de 2eme année et plus étaient déjà installés. Je me souviens m'être demandé pourquoi nous avions été acheminés jusqu'au château en barques alors que, manifestement, il y avait un moyen plus rapide... Puis je me suis dit que c'était certainement pour faciliter la répartition. Avoir tous les 2ere année au même endroit devait les arranger. En tout cas, c'était mon hypothèse. Ou alors, c'était simplement pour impressionner les nouveaux avec la splendide vue sur le château qu'on avait depuis le lac...

Et puis, enfin, le moment tant attendu de la répartition. Je n'avais pas vraiment d'inquiétudes quand à la maison à laquelle je serais assignée, chacune avait ses points forts, ses atouts, et j'étais réellement curieuse de voir laquelle le choixpeau choisirait pour moi. Je ne savais pas trop comment il était censé procéder, mes parents s'étaient montrés assez mystérieux sur le sujet. Ils disaient que ça aurait été trop facile sinon. Alors, quand on a appelé mon nom, j'ai senti une boule me monter dans la gorge. J'ai vu les mèches devant mes yeux prendre une teinte verdâtre. Je suis néanmoins monté sur l'estrade et me suis assise sur le tabouret. Après tout, j'avais vu déjà d'autres élèves le faire avant moi, et ils n'avaient pas l'air d'avoir passé une épreuve insurmontable...

Finalement, le choixpeau a trouvé sa place sur mon crâne, il a semblé réfléchir un instant avant de déclarer avec fracas un « Serdaigle » sonore. Avec un grand sourire, je me suis levé, j'ai laissé le professeur récupérer le choixpeau, et je me suis précipité vers la table d'où venaient les vivats et les applaudissements. C'est ainsi que j'ai commencé mes études à Poudlard.

Très rapidement, une certaine routine s'est installé. Je découvrais les différentes matières enseignées, et si j'appréciais l'histoire de la magie par exemple, mes cours préférés restaient sans conteste les sortilèges et la métamorphose. Il fallait dire que, en tant que metamorphomage, j'avais beaucoup de facilités dans cette matière. C'est à peu près à cette époque d'ailleurs que j'ai commencé à me servir réellement de cette capacité. Alors oui, c'est puérile et vaniteux, mais j'avais la chance de pouvoir changer mon apparence à volonté, alors pourquoi m'en priver ? C'était extrêmement pratique pour faire disparaître les boutons d’acné par exemple, pour avoir les cheveux de la longueur et de la couleur que l'on veut, ce genre de détails...

Tous les matins, je faisais en sorte de me lever en avance pour mes exercices vocaux, auxquels je consacrai une bonne heure. Après seulement j'entamai ma journée de cours, comme n'importe quel autre élève. J'ai eu mon lot d'amitiés, de rivalités, je n'étais pas forcément la plus irréprochable des élèves puisque ma curiosité m'amenait parfois à des endroits où je n'aurais jamais dû me trouver... Néanmoins, mes premières années à Poudlard se déroulèrent sans incident notable. L'année dernière, au moment de choisir des options, j'ai opté pour l'Arithmancie et l'étude des runes. La divination ne m'intéressait pas vraiment, puisque je suis généralement partisane du « on construit soi-même son avenir », l'étude des moldus ne m'aurait pas apporté grand chose puisque j'en savais déjà beaucoup grâce à mon éducation, de même pour les soins aux créatures magiques... Bon, j'avais sans doute beaucoup à apprendre dans ces deux matières, mais je me disais que ce serait peut-être une meilleur idée d'apprendre vraiment quelque chose de nouveau, de sortir de ma zone de confort.

Et finalement, me voilà. En 4eme année à l'école de sorcellerie Poudlard, l'une des plus fameuses au monde, à rêver qu'un jour je deviendrais une chanteuse célèbre dans le monde magique. Ça prendra le temps qu'il faudra, j'y mettrai toute l'énergie nécessaire, et à tous ceux qui me demanderont ce que je fais dans une école de sorcellerie avec un tel projet... Et bien je leur répondrai que toute connaissance est bonne à prendre. On ne sait jamais ce qu'il peut arriver dans une vie, et ma scolarité n'est en rien un frein à mon rêve. Et puis une école où tous les sorciers d'Angleterre viennent suivre des cours, ça permet de rencontrer pas mal de gens mine de rien. Et ça, c'est toujours une bonne chose quand on veut se faire connaître.

Le Questionnaire du Choixpeau

1 - Quel est votre élément préféré ? L'eau.

2 - Quelle est votre matière préférée ? Mon cœur balance entre la métamorphose et les sortilèges...

3 - Vous avez une heure de pause, que faites-vous ? Je consacre mon temps à la musique (en écouter, en créer, en interpréter).

4 - Quel est votre animal fantastique préféré ? le Sombral.

5 - Quel est votre sort préféré ? Sonorus

6 - Quelle est votre plus grande qualité ? Je sais ce que je veux, et je ne manque clairement pas de motivation.

7 - Quel est votre plus gros défaut ? Je ne suis pas la moitié d'une tête de mule, et j'ai... des gros sabots.

8 - Quel métier désirez-vous faire ? Je veux devenir une star du metal dans le monde magique !

Qui es-tu ?

Je m'appelle Morgane, j'ai 28 ans. Je ne vous donnerai pas mon nom, une histoire de vie privée, toussa... Mais mon surnom c'est M.O.E, pour Mystical Owl Eldritch (c'est un énorme délire avec des potes, je vous expliquerai à l'occasion).
Mon taf, c'est de garder des enfants. Oui, je suis ce trop rare spécimen de geek qui aime les mioches.
Sur mon temps libre, je partage mon temps, pas très équitablement il faut bien le dire, entre la lecture, l'écriture, le jeu vidéo... et le crochet. Le tout en écoutant de la musique, parce-que je suis un peu mélomane sur les bords.
Je vais essayer de poster au moins un rp par semaine (quand je pourrais jouer et que j'aurais trouvé des partenaires de jeu en tout cas u_u) mais si vous constatez que je met trop de temps à répondre, hésitez pas à venir me botter le cul en MP ou sur Discord.
Concernant mon rapport avec l'univers de Harry Potter, je pense pouvoir dire que je suis assez calée sur l'univers, j'ai lu la saga une bonne dizaine de fois... J'ai vu les films aussi, jusqu'au premier des animaux fantastiques. En revanche, je n'ai pas lu les livres sur cette histoire, ni la pièce de théâtre... Mais bon. J'ai zéro scrupule à hanter les wiki à la recherche d'infos ^^
Sinon j'espère que je me suis pas trompé en postant ma fiche, et que je l'ai mise au bon endroit 'w'

Ton avis sur le forum ?

Premier point... Le forum est très beau. J'adore le codage, l'esthétique, l'ambiance fait très douce et sobre, j'aime beaucoup. Et je peux juger ce genre de choses, j'ai pas mal roulé ma bosse en terme de codage de forums (vive le LS hein *quiche*).
Ensuite, je dois dire que voir un forum Harry Potter qui utilise des avatars de type dessin/fanart, et non des images réelles... Ça fait vraiment chaud au cœur, et ça a été le premier truc qui m'a accroché avec ce forum.
J'apprécie aussi de ne pas voir de système d'évolution overcomplexe, les sujets d'explications sont simples et directs, ça permet d'aborder le rp de manière très relaxe. Bon, y'a bien quelques fautes d'orthographes par-ci par-là, mais bon... Heh, faut bien que je trouve un truc négatif à dire hein ! Pis bon, je suis pas non plus irréprochable sur l'orthographe... Tiens, rien que dans ce derrière l'écran, je suis persuadée d'avoir fait au moins trois grosses fautes bien sales.
En tout cas, j'ai très hâte de découvrir la communauté du forum ^^

Un mot sur ton personnage ?

Alors ouais, un point que je voulais signaler, vu que je vais poster la fiche avant de remplir la zone « mon identité » (histoire de savoir dans quelle maison j'vais traîner mes guêtres en fonction du questionnaire)... Je compte prendre le dernier slot disponible de Metamorphomage, c'est possible ?
Sinon, je vous jures que j'ai choisi de faire venir Moïra des Highlands en Écosse avant de savoir que Poudlard y était aussi, c'est juré ! XD