Quand je parle du dojo à la serpentarde, elle semble surprise. Après, je n’ai pas l’impression que son propriétaire est fait beaucoup de pub non plus. Il parait qu’il est canon, mais peu avenant. En tout cas, je suis ravie d’avoir piquer la curiosité de ma camarade. Au moins, cela veut dire, que je ne dis rien d’inintéressant. Ou pas tout le temps du moins.

Elle me dit de profiter de mon aimer et de lui rendre l’appareil. JE ne peux pas m’empêcher de rougir et sourire bêtement. J’ai encore du mal à réaliser qu’il soit avec moi et aussi prévenant. C’est mon chevalier servant. J’ai une image de lui avec une absence d’objectivité plus que voyante. Mais, je n’y peux rien. Quand le cœur est dans l’équation, la vision est toujours différente de la réalité. Et peu importe ce que pense les autres, ce qui importe c’est ce que moi je ressens et que je sois heureuse avec celui que j’aime.

Je me permets quelques secondes dans mes pensées à l’eau de rose, avant qu’elle n’enchaine sur le fait que nous sommes du même cursus. Je secoue légèrement la tête, pour me faire sortir de mes pensées et accorder toute mon attention à la jeune femme. Elle me propose son aide ce qui me ravie.

Je ne veux surtout pas te déranger. Tu dois aussi avoir beaucoup à travailler. Mais si un moment tu t’ennuies, ça sera avec plaisir que j’accepte ton aide. Et même si nous ne sommes pas de la même année, on pourra se soutenir pour le duel.

JE ris doucement mais pas trop fort pour ne pas déranger Usui toujours en train de dormir. Mais vu, le choque qu’il a subi, je pense qu’il va dormir jusqu’à au moins demain matin. Je soupire, avant de suive la belle brune vers l’extérieur, afin que nous puissions aller ensemble vers la grande salle. C’est que je commence à

avoir faim aussi mine de rien.

Aucune idée de l’heure, mais vu le soleil qui se couche dehors, je dirais qu’il doit être l’heure de manger ! En plus, ma soirée est loin d’être terminée. J’ai encore la ronde du soir à faire.