Ma vie

Arbre généalogique :

La famille Blake est une famille de sang-purs depuis plusieurs générations. Comme beaucoup de leurs compères sang-purs, ils vouent une importance sans borne à la qualité du sang et n’ont pas honte de recourir aux mariages arrangés pour ce faire, même encore maintenant. On raconte que le patriarche nourrit des ambitions surréalistes, comme celle d'imposer le patronyme Blake dans tout le circuit du monde sorcier Britannique, en plaçant ses (nombreux) enfants à des places stratégiques, dans la société. Les parents d’Alexander ont mis au monde pas moins de huit enfants :

1er enfant : Richard Blake (26 ans - adulte)
2ème enfant : Damian Blake (22 ans - 12ème année)
3ème enfant : (prénom) Blake
4ème enfant : (prénom) Blake
5ème enfant : Lionel Blake (20 ans - 10ème année)
6ème enfant : Alexander Blake (15 ans - 5ème année)
7ème enfant : Rachel Blake (13 ans - 3ème année)
8ème enfant : (prénom) Blake

Ils ont tous fais leurs classes à Poudlard, donc autant dire que personne n'a été étonné de voir surgir un énième rouquin Blake à l'arrivée d'Alexander.
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Traits de caractères principaux : persévérant – passionné – alerte – fidèle – affectueux – studieux – dépendant affectif – maladroit avec les autres – émotif – fier – désabusé – caractériel – rancunier.

Comme tout à chacun Lex est un savant mélange de beaucoup d’aspects, souvent contradictoires. Par exemple on pourrait dire de lui qu’il est timide pour certaines choses, mais cela ne s’applique pas à toutes les situations. Pendant longtemps – surtout avant son arrivée à Poudlard et aussi pendant ses premières années dans cette école – Alexander préférait se la jouer solo pour n’avoir à dépendre que de lui-même et donc de ses propres capacités. Parce que cela lui permettait de garder le contrôle : s’il voulait changer la donne, ou améliorer quelque chose il n’avait qu’à redoubler d’effort et faire en sorte d'évoluer lui-même. Parce que Lex estimait entre autres chose avoir assez de hargne et de motivation pour tout compenser et pour gagner seul. Erreur de débutant. Bien vite Alexander s’est rendu compte que la vie en société ne marchait pas comme ça et il a dû apprendre à composer avec, à faire des concessions surtout. Pourtant, au départ, son naturel solitaire ne partait pas uniquement d’un problème d’égo, encore moins d’une mauvaise intention ; c’était sa façon à lui de se protéger et de ne pas avoir à exposer son naturel timide et maladroit à tout va. Son attitude a été le fruit de nombreux conflits, parce que ses camarades ne le cernaient pas ou se fourvoyaient sur ses possibles intentions. Ils le pensaient souvent doté d’une estime surdimensionnée. Mais c’est de l’histoire ancienne.
Dorénavant Lex sait qu’il est parfois obligatoire de se mettre à nu et de se montrer tel qu’on est pour espérer se faire accepter et ainsi pouvoir avancer. Mais par Merlin ! Ce que ça lui coûte de devoir faire preuve d’autant d’honnêteté ! Ça lui a notamment sauté aux yeux lorsqu’il a commencé le quidditch durant sa troisième année à Poudlard : si au début Lex convoitait le rôle d’attrapeur (parce qu’il permet de gagner la partie seul, parce qu’on peut renverser la tendance d’un match en moins d’une seconde) il s’est vite rendu compte que la véritable beauté du jeu résidait dans la cohésion entre les joueurs d’une même équipe. Que le match s’en retrouvait plus qualitatif lorsque tous réussissaient à combiner leurs compétences, lorsqu’ils réussissaient à se tirer les uns et les autres vers le haut, en faisant éclore le meilleur d’eux-mêmes dans l’objectif d’arracher la victoire à l’équipe adverse. Lorsque Alexander en a pris conscience, l’engrenage était déjà amorcé et il ne respirait dès lors plus que pour le Quidditch. Il attend beaucoup de ce sport collectif, car il espère bien pouvoir surpasser ses propres difficultés en servant dans son équipe.
Si d’ordinaire Lex peut paraître naturellement calme et enjoué, encore une fois on ne vous répètera jamais assez de vous méfier de l’eau qui dort. Lex n’est pas d’un naturel facile. Il est suffisant, il a une conscience aiguë de ses propres capacités, il est passionné, mauvais perdant et doté d’une source presque inépuisable de volonté lorsqu’il s’en donne les moyens. Se retrouver face à l’adversité le fait redoubler d’effort et ce n’est que lorsqu’il est acculé à 100% qu’il commence à baisser les bras – chose vraiment rare. Malgré les apparences Lex est un enflammé. Il est aussi colérique et il lui arrive un peu trop souvent d’entrer dans des épisodes d’excès qu’il a lui-même du mal à refréner par la suite. La plupart du temps il agit et finit par regretter ses gestes et ses paroles après son coup de sang irréfléchi. Il est très instinctif comme garçon, ce qui ne l’empêche pas de réussir à garder la tête froide dans les situations de stress pour réfléchir à la meilleure option à adopter. Mais Alexander doit aussi composer avec une peur viscérale du rejet, qui s’explique surtout par sa maladresse notoire lorsqu’il lui faut s’exprimer avec autrui.
De fait il s’entendra très bien avec ceux qui prendront le temps, avec lui, de lire entre les lignes et de s’adapter. A l’inverse il aura du mal à se faire accepter par ceux qui jugent trop vite ou qui s’arrêtent au premier ressentit pour se faire une idée sur quelqu’un.
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Signes physiques distinctifs : regard acéré, petite stature, aura imposante.

Alexander Blake, aussi dit plus communément « Lex » par mes proches et par ceux qui ont la flemme de prononcer mon prénom en entier, enchanté. Je suis surtout réputé pour mon naturel fougueux et pour le « canyon » qui subsiste entre mon apparence physique et mon caractère. Si je peux paraître enjoué et jovial, relativement facile à approcher de prime abord, très souriant et doté d’un faciès « angélique » ; ceux qui me côtoient au quotidien, ou ceux qui ont prit la peine de creuser un peu derrière mes faux-airs de simplet, savent que je ne suis pas aussi agréable à vivre que ce que l’on peut bien imaginer au début.
C’était déjà le cas lorsque j’étais gamin. A l’époque mes camarades d’école m’approchaient très rapidement en se justifiant d’un « quand je t’ai vu, je t’ai pensé gentil, même carrément innocent, mais… ». Et je ne compte plus le nombre de fois où on m’a reproché mon physique mensonger et mon penchant antipathique par nature. « Le loup derrière le costume de mère-grand », voilà l’une des remarques dont j’ai pu écoper de la part d’un camarade sang-de-bourbe, vraisemblablement hautement satisfait de lui-même à l’idée d’employer une référence moldue qui m’échappait complètement.

Si seulement je pouvais me plaindre uniquement de mes petits airs de saint invétéré…mais non. Le hasard a aussi voulu que je sois ce qu’on appelle plus communément un « petit gabarit » dans le milieu du sport. Et pour cause, je ne mesurais que 162,2 cm avant l’été dernier, auxquels je peux maintenant ajouter deux centimètres de plus depuis la rentrée, merci à mère nature pour ce cadeau inespéré… Et évidemment je ne pèse que 51,9 kg tout mouillé. Je ne peux donc pas me pâmer d’avoir un physique à attiser la jalousie d’autrui, ou bien uniquement celles de la gente féminine, avec laquelle je me confonds avec une aisance qui frôle le comble et l’ironie en même temps. Je ne m’en cacherais jamais : mon physique a toujours été pour moi l’un de mes plus grands complexes. Ça a commencé très jeune, à cause de mes airs d’ange tombé du ciel, et ça s’est poursuivit avec le temps, alors que je prenais de l’âge sans que ma taille suive la même tangente. Bon, évidemment, je continu à grandir un peu chaque année, puisque je suis en pleine croissance et que je fais rigoureusement attention à mon alimentation. Car j’essaye vraiment de mettre toutes les chances de mon côté pour renverser la vapeur. Mais le peu que je prends régulièrement n’a strictement rien à voir avec les facultés de ces espèces de perches sur pattes qui me servent accessoirement d’aînés. Il suffit de prendre l’exemple de celui qui est le plus proche de moi : Lionel, vingt-ans, et qui semble bien partit pour frôler les deux mètres dans un futur proche, tout du moins si on se fie aux ragots de couloir qui pullulent à Poudlard… A croire, surtout, qu’il s’est bien servit, plus que de raison même, dans le ventre de notre mère, et qu’il a décidé de ne rien me laisser avant que je naisse, franchement. Je me console malgré tout en constatant que j’arrive quand même à prendre de la masse musculaire, tout comme eux, ce qui me permet d’être svelte et agile malgré ma petite taille. Enfin avec tout le temps que je dédie aux activités sportives l’inverse aurait été un comble… Mon attrait pour le sport a démarré à l’instant même où je me suis mis en tête de compenser ma physionomie de nain autrement qu’en espérant un cadeau du destin – qui ne se pointera sans doute jamais de toute façon. Ainsi je saute bien plus haut que mes congénères souvent plus grands que moi (en même temps j’ai moins de poids à déplacer, si vous voyez ce que je veux dire) et avec un moindre mal. Je suis imbattable à la course, à la brasse, au saut en hauteur et en tout autre sport qui nécessiterait de bons cuissots. Moi je vous le dit, le Tournoi des Trois Sorciers m'est déjà d'ores et déjà acquit, sans même que j'ai le besoin de laminer les autres branquignoles qui s'opposeront à moi ! Mes épaules se sont aussi considérablement développées à force de pratiquer telle ou telle activité sportive… Et résultat des courses : je ne sais pas si je suis satisfait, maintenant, ou si, au contraire, c’est pire...tellement j’ai l’impression d’être dysmorphique. Sans vouloir jouer ma pleureuse. Le comble a été atteint cette année, lorsqu’un ami de mon année et de ma maison, a osé me sortir que je me tenais « vouté », vers l’avant… Voûté ! N’importe qui ! Franchement !

Attendez, ce n’est pas encore le pire… La cerise sur le gâteau ? C’est que je ressemble davantage au plus jeune de mes aînés, Lionel donc, alors que c’est clairement le vilain petit canard de la lignée ! On a les mêmes yeux noisette mordoré, la même chevelure rousse ébouriffée… Damian va même jusqu’à dire qu’on a le même air de gamin désabusé et coincé quand on fait la gueule. Mais ça, c’est juste parce que le temps qu’on doit passer à la maison relève davantage de la corvée que de la partie de plaisir pour nous deux… Si, à la différence de Lionel, je fais de mon mieux pour m’intégrer et pour espérer m’incorporer dans le moule des prérequis que nous imposent nos parents, cela ne veut pas dire pour autant que je n’en ressens pas moins la pression des exigences de nos parents…qui pèse sur nos épaules chaque jour qu’on peut passer sur cette foutue Terre…une vraie épée de Damoclès en suspension au-dessus de nos têtes, le machin…

D’aussi loin que je peux m’en rappeler ça a toujours été le cas chez nous. Les Blake, où l’une de ces grandes lignées de sang-purs britanniques qui se doivent de tout mettre en œuvre pour conserver cet état de fait, histoire de ne pas se faire sucrer nos allocations chômages, comme le dirait un moldu (à comprendre nos privilèges de VIP en gros). Je suis né le 22 novembre 2005, à la saison où les arbres sont déjà nus et où on se plante la gueule au moindre carrefour à cause du sol jonché de feuilles rousses mortes. Malgré tout cette période de l’année reste ma préférée, pour les jus de citrouille dégustés au coin du feu avec un bon bouquins posé sur nos genoux, par-dessus un plaid cotonneux et épais. Les deux premières années de ma vie ne sont pas mes préférées, car j’ai toujours souffert du manque d’intérêt que me témoignait à la fois mon père (une sale manie chez lui) et mes frères et sœurs, qui semblaient tous avoir mieux à faire que de s’intéresser au petit dernier. Il m’a fallut attendre que ma petite sœur, Rachel, voit le jour pour qu’enfin un petit rayon de soleil entre dans ma vie morose. Ma mère s’en amuse encore, à me rappeler à quel pont je me suis vite entiché de ma cadette, au point même de ne plus vouloir la quitter des yeux alors qu’elle n’était encore qu’un tout petit nourrisson chétif. Puis elle a grandi, a apprit à marcher, à coller maman, et à m’opposer des « non » et des « même pas en rêve ». Malgré tout, on est toujours restés rigoureusement proches. Mon entrée à Poudlard, deux ans avant elle, a été un déchirement. Je m’en foutais bien de retrouver la ribambelle de nos autres frères et sœurs. Richard était entièrement tourné vers ses idéaux de mec trop ambitieux, Damian…bah c’est Damian quoi, plus effacé tu meurs. Et Lionel…qui réussissait à être le mouton noir même en dehors de la demeure Blake, c’est dire s’il a du talent.

Ne pouvant pas faire autrement, j’ai passé mes trois premières années à Poudlard en me focalisant sur mes bulletins de note que j’essayais de rendre impeccable et si possible meilleur que ceux de mes aînés. Mais avec Richard dans le tas, autant dire que je ne risquais pas de faire de prouesses, puisque monsieur semble se donner un malin plaisir à tout accomplir avant tout le monde… J'ai bien réfléchit à l'idée de m'engager comme préfet, mais le sport est rentré dans ma vie à peu près au même moment et j'ai compris que rien ne le remplacerait plus désormais. A l’instar de Lionel, mon père ne m’a jamais vraiment remarqué, jusqu’au moment où le Vol et le Quidditch sont entrés dans ma vie justement. Mais évidemment rien n’était jamais suffisant pour lui, et il a fallut attendre que Lionel soit mis hors-jeu des suites du blessure au genoux, pour que notre patriarche daigne me montrer un semblant d’intérêt. Comme s’il reportait sur moi les idéaux qu’il avait vu voler en éclat avec mon frère. Vous la sentez la relation père-fils toxique ? Parce que ce n’est pas simplement une vilaine impression, c’est l’univers dans lequel j’ai grandi. Bien-sûr, mon ambition de devenir un jour joueur professionnel ne m’a pas été soufflé par mon père, ni par mon esprit revanchard vis-à-vis de mes frères ou quoique soit du même style…Non, c’est mon amour pour le Quidditch qui m’a poussé à épouser cette trajectoire. Parce que depuis mes premiers cours de vol je ne vis plus, je ne respire plus que pour ça. A dire vrai je suis plus botté Quodpot que Quidditch, parce que j'adore sentir le poids de la balle en caoutchouc entre mes doigts. Mais puisque cette activité n’est pas reconnue au même niveau que la seconde… De toute façon, mon père m’aurait rit au nez si un jour je lui avais expliqué vouloir me lancer dans le Quodpot de façon pro. Depuis ma troisième année à Poudlard j’occupe le poste de batteur dans l’équipe de ma maison. J’ai bien réfléchi à l’idée de devenir poursuiveur, ce qui collait entre autres avec mon gabarit et à l’époque, lorsque j’avais passé les essais, c’est exactement ce que les membres titulaires m’ont laissé comprendre eux aussi. Mais j’ai eu l’occasion de m’essayer à plusieurs postes et de tous je préfère encore celui de batteur. J’aime le côté stratège de ce rôle, l’aspect protecteur aussi, et surtout l'idée de pouvoir casser des gueules en laissant éclater ma hargne sans être inquiété d'être consigné au fond d'un placard pour faute grave. Je ne dis pas que je passe mon temps à blesser les autres joueurs, mais simplement que je n'ai pas honte de viser les points stratégiques si besoin est. Être batteur me force à relever des challenges personnels et à me donner à 100%, à évoluer et à m’améliorer. Bref, c'est ma came à moi, quoi.

Le Questionnaire du Choixpeau

1 - Quel est votre élément préféré ?

L’eau. Ces grandes étendues limpides et somptueuses qui, pourtant, peuvent se montrer traitresses si jamais on oublie de rester sur ses gardes. C’est aussi à mes yeux l’élément naturel qui traduit le mieux la ténacité d’esprit : vous aurez beau essayer de détourner un courant, le plus souvent il trouvera un moyen de poursuivre son chemin ou il rejoindra son sillon naturel.

2 - Quelle est votre matière préférée ?

Je ne suis pas du genre à privilégier une matière par rapport à une autre, car je pars du principe qu’elles nous apportent toutes leur part d’enchantements et d’inconvénients. Mais si je devais vraiment en choisir qu’une seule ce serait sans doute le cours de Sortilège, que je trouve inépuisable, très complet et porteur de sens d’un point de vue historique. Chaque sort a vu le jour parce que, quelque part, quelqu’un en a ressenti le besoin pour une raison ou pour une autre.

3 - Vous avez une heure de pause, que faites-vous ?

Je lirais, probablement pour réviser une matière ou alors j’en profiterais pour terminer un devoir. Lorsque j’ai très peu de temps j’en profite aussi pour faire un saut à la bibliothèque et pour y emprunter les volumes et parchemins dont j’ai besoin ou qui me font envie. Si jamais j’ai plus d’une heure, en revanche, je privilégierais une activité sportive. Le quodpot ou le quidditch au possible, ou bien un petit footing à l’air libre.

4 - Quel est votre animal fantastique préféré ?

Le Nundu pour la part de mystère qui l’accompagne, pour tout ce que j’ai pu lire à son sujet. Je me demande si les Nundus sont vraiment aussi impressionnants qu’on les dépeints, mais je n’aurais probablement jamais l’occasion d’en admirer un de mes propres yeux.

5 - Quel est votre sort préféré ?

Finite Incantatem, le genre de sort basique à connaître absolument. Il m’arrive fréquemment d’y avoir recours, que ce soit pour mettre un terme aux petites blagues de mes comparses ou durant une séance au club de duel. Ce sort peut aussi vous sortir de bon nombre de mauvais pas, c’est clairement un indispensable.

6 - Quelle est votre plus grande qualité ?

Ma détermination naturelle, que certains se complaisent aussi à nommer de penchant opiniâtre, entêté, voir carrément obstiné… A chacun son école, comme on dit. Personnellement je suis bien content de réussir à faire preuve de persévérance, tout en ne me laissant pas abattre à la moindre petite difficulté que je rencontre. Il s’agit aussi d’une force d’esprit quelque part, tous le monde ne peut pas s’en vanter.

7 - Quel est votre plus gros défaut ?

Ma fierté, qui me pousse à me montrer individualiste par moment. Je le sais, parce que mes potes passent leur temps à me rabâcher les oreilles avec ça.

8 - Quel métier désirez-vous faire ?

Le Lex âgé de 4 ans vous aurait sans doute répondu Auror… Mais l’eau a coulé sous les ponts depuis et j’ai appris à réviser mes ambitions. Le vol ainsi que le Quidditch et le Quodpot sont entrés dans ma vie depuis, alors il est vrai qu’une carrière en tant que joueur professionnel d’une équipe renommée, serait vraiment l’idéal à mes yeux. Puis si cela peut m’éviter de me faire chier comme un rat mort dans un bureau au Ministère de la Magie, ça ferait d’une pierre deux coups, si vous voyez ce que je veux dire. On est Blake ou on ne l’est pas, c’est pas comme si notre père nous laissait l’embarra du choix.

Qui es-tu ?

Je suis le DC de @Hiroshi Huang.

Ton avis sur le forum ?

J'suis comme un poisson dans l'eau ici. Je vous aime, et le forum avec, sinon j'y passerai pas autant de temps !

Un mot sur ton personnage ?

Ce compte est le frère cadet de @Lionel Blake, il est au courant (et il a déjà lu) mais je le tague quand même pour lui demander son feu vert avant validation !

L'avatar est : Shōyō Hinata, de Haikyū!!