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La fête des universitaires


-LE PREMIER À SE METTRE AU LIT EST UNE MAUVIETTE! avait hurlé Roxanne en entrant dans la demeure de leur maison après le repas de la rentrée.

Chez les Gryffondor, ça se fête, une rentrée, qu’on soit là de bon gré ou pas! En vrai, toutes les raisons sont bonnes pour fêter. Que ceux qui voulaient dormir tôt cette nuit-là pour être frais et dispos lors de leur premier cours aille… coucher à la belle étoile quoi, rien à faire! L’heure était à s’amuser, discuter, se raconter leurs vacances, et puis, ils n’étaient plus au cursus régulier, il n’y aurait pas de professeur pour leur botter le derrière s’ils ne se mettaient pas vite au lit, hein?

-J’ai ramené quelques-unes des nouveautés de la boutique de papa, s’il y a des curieux qui veulent y jeter un œil. Des exclusivités mes chers amis, ce n’est même pas encore en vente libre, vous êtes des VIP. Je vous fais confiance hein, je vous les vends, mais à condition que ce soit pour emmerder des Serpentard… Oh, allez, je vous laisse causer des problèmes à quelques professeurs aussi, parce que sinon c’est moins marrant.

Roxanne avait retiré son sac en bandoulière de son dos et fouillait dedans en jetant des coups d’œil complices à son frère Fred. Une autre des raisons pour lesquelles la jeune mulâtre ne rechignait qu’à moitié (pour la forme quoi) à l’idée de retourner à l’école, c’est parce que leur père leur promettait une petite marge de profit en argent de poche pour tout ce qu’ils arrivaient à vendre directement sur le campus. Et avouons-le, c’était bien plus facile maintenant qu’ils n’étaient plus directement dans l’enceinte de Poudlard.



Dernière édition par Roxanne Weasley le Mer 17 Fév - 17:26, édité 1 fois

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« — LE PREMIER À SE METTRE AU LIT EST UNE MAUVIETTE! »

Hiroshi venait tout juste de rentrer dans le salon collectif de la demeure dédié aux Gryffondors. Il ne s’étonna pas le moins du monde d’y trouver une Roxanne survoltée. C’était l’une des caractéristiques principales de son caractère et c’était aussi ce qui faisait son charme quelque part. Le Japo-chinois avait hâte de retrouver sa chambre personnelle, qu’il avait déjà occupé pendant un an et aménagé avec plus ou moins de soin. Cette dernière était toujours plus cosy et personnelle que celle qu’il avait chez ses parents et ça n’avait strictement rien à voir comparé aux dortoirs collectifs à Poudlard. Si durant sa première année de LAMA Hiroshi ne s’était pas gêner pour abuser des bonnes choses en rentrant tard presque tous les soirs et en dépensant son argent de poche dans des bières-au-beurre aux tavernes de Pré-au-Lard… Le gryffondor en 9ème année ne semblait toujours pas décidé à se calmer sur ce plan-là. C’est avec joie qu’il se mêla aux autres élèves aux blasons rouges et or pour la soirée.

Hiro s’affala sur l’un des canapés dans un coin de la pièce en soupirant et salua quelques amis à lui avec qui il lui tardait de partager ses anecdotes de vacances. Il espérait vivement réussir à croiser ou intercepter Adhara ce soir, pour lui soutirer en long en large et en travers le récit de ses vacances d’été. Il doutait fort que la Malefoy ait eu l’occasion de beaucoup s’amuser une fois de retour chez ses parents, mais Hiro était bien décidé à renverser la balance.

Roxanne continuait son monologue à propos de la boutique de son père et des artefacts VIP mais Hiro n’y prêta qu’une oreille distraite, n’étant pas plus intéressé que ça par la discussion. Un sourire affleura ses lèvres malgré tout lorsqu’il constata toute la motivation de la jeune sorcière. Cette soirée leur permettrait, à tous, de faire le point sur ce qu’il s’était passé pour chacun durant les vacances. Tout en faisant la connaissance de nouvelles personnes et d’autres vagues camarades avec qui ils n'avaient pas encore eu l’occasion de beaucoup discuter en neuf ans à Poudlard. Cela forçait la cohésion de groupe. Hiroshi reconnaissait bien là l’âme de capitaine de Weasley.
Pando

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La fête des universitaires
Lionel Blake & Roxanne Weasley & Hiroshi Huang




Le premier jour de cours, quelle douce mélodie et journée qu'était pour le rouquin. Il avait enfin troqué son temps seul à la maison familiale des Blake, à se faire engueuler par son père comme quoi il avait raté son unique chance d'être fier de son raté de fils en s'étant blessé au genoux et laisser la place de Capitaine à quelqu'un d'autre. Qui plus est une fille, et de couleur ! Bien que Lionel se fichait de ce genre de choses, le reste de sa famille restait très raciste, que cela soit pour les non pur comme pour les femmes ou les personnes de couleur. Donc non, ce n'étaient pas de bonnes personnes, et vous pouvez souhaiter leur mort sans souci, même devant lui. Il n'ira pas jusqu'à blasphémer sur sa famille, mais il ne vous contredira pas, ni ne vous arrêtera.

Lionel eut le temps de se jeter dans un des fauteuils tandis que Roxanne, sa remplaçante en tant que Capitaine de l'équipe de Quidditch, venait tout juste d'hurler que personne ne devait dormir. Ou du moins, le premier qui irait se coucher allait être mal vu. Lionel étant connu pour être un gros fêtard, ce n'est pas lui qui allait aller à son encontre, surtout qu'il ne comptait pas dormir, même si les cours du lendemain allaient être assez mouvementés. Du moins, chaque élève allait faire la fête dans n'importe quelle Maison, les profs le savaient et n'allaient pas leur en vouloir. Sauf les quelques sadiques qui s'amusent à leur faire bouffer plein d'informations alors qu'aucun, hormis les premiers de la classe, dont faisait ironiquement parti Lionel, allaient pouvoir comprendre un traitre mot de ce qu'allaient leur apprendre leurs différents éminents professeurs.

Alors qu'il avait son cul vissé sur le fauteuil, pas loin d'Hiroshi d'ailleurs. Il comptait lui parler, mais lorsqu'il entendit le fait qu'elle avait ramenée des éléments de la boutique de Papa Weasley, il ne put s'empêcher d'hausser les épaules en direction de son ami, lui faisant comprendre que ce qu'il se passait n'était pas de sa faute et qu'il fallait bien qu'il aille à la pêche aux informations. Il se leva d'un coup du fauteuil, mettant ses deux bras en avant, faisant virevolter sa cape de sorcier légèrement alors qu'il se dépêcha de passer sa tête par-dessus l'épaule de Roxanne avec un sourire malicieux alors qu'il regardait les différentes marchandises.

– Là tu m'fais plaisir, Cap'taine !

Le rouquin eut un léger rire. Tout le monde ici savait qu'il aimait bien embêter les gens et faire les quatre cent coups, mais avec un don inné pour ne jamais se faire prendre. Bon nombre de "malheureux incidents" ne sont jamais remontés jusqu'à lui officiellement, mais tout le monde ici savait qu'il n'était pas du genre à être sage comme le croyaient certains professeurs. Bon élève, mais encore un peu enfantin à vouloir embêter certains professeurs, mais surtout les Serpentard. Il posa sa main au niveau de son coeur en souriant vers la jeune fille.


– Je, sous signé Lionel Blake, promets de n'utiliser ces artéfacts ô combien rarissimes et inestimables, que sur nos amis à cape verte.

N'ayant qu'une parle, elle ne pouvait que le croire, et puis Lionel était comme ça. Si il disait quelque chose, il le faisait. Il fit un mouvement de main vers son ami pour qu'il daigne venir les rejoindre, voulant lui montrer ce qu'il y avait, et aussi pour ne pas être le seul à raquer si possible.



Dernière édition par Lionel Blake le Mar 29 Sep - 6:36, édité 1 fois

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La rentrée.

La pire phobie de Rajani. Bien que ce soit sa 10ème, c’était toujours une épreuve. Passé d’un cocon familiale, émotionnellement stable à une école surpeuplée d’adolescents et étudiants en pleine effervescence hormonale et émotionnellement était épuisant pour l’empathe. Il avait l’impression de plonger la tête dans un océan de lave. Les premières heures il ne pouvait que subir les bourrasques d’émotions de toutes les personnes présentes dans la Grande Salle, se perdant lui-même, incapable de s’accrocher à quoi que ce soit. Ce jour-là, il valait mieux pas lui parler. Du tout. Et par la suite, cet enfer devenait de plus en plus facile à supporter. On s’habituait à tout. C’était donc la tête en chou fleur et avec des envies de meurtres que le préfet rejoignit la Résidence Gryffondor ce soir-là.

Quand il aperçut la capitaine de l’équipe de Quidditch, au centre de l’agitation, il afficha un regard vide, dénué d’aucun sentiments. Il était de coutume de ne pas retirer de points le premier soir, les élèves et étudiants fêtant leur retrouvaille. Amer, le prince se dit que de toute façon, il n’aurait pas eu la force de se battre contre tout le monde pour faire respecter la loi. Sa loi. Il fit un rapide balayage dans la pièce, apercevant Huang affalé sur un canapé, Blake, un camarade de classe qui étrangement lui parlait de temps à autre et qu’il réussissait à supporter, tout près de la Capitaine qui commençait déjà ses trafics familiaux de farce et attrape. Quand on le vit arriver, il put sentir qu’il n’était pas le bienvenue mais n’était plus à une émotion désagréable près.

On commence l’année en beauté, hein ? Weasley ?

Il voulait simplement montrer qu’il l’avait à l’oeil même s’il ne pouvait rien faire pour ce soir. Il croisa les bras et fit tournoyer sa cape avec arrogance. On pouvait voir qu’il était vraiment dans un sale état émotionnel. A la moindre provocation, il partirait au quart de tour. Il chercha les étudiants de sa maison présent, un par un de son regard acier glacial avant de faire son habituel discours moralisateur.

C’est la rentrée. Profitez-en. Mais je veillerais à faire régner l’ordre dans cette résidence. N’oubliez pas ce qui est important : votre avenir est entre vos mains après tout.

Ce n’était pas le plus sympa, ni le plus tolérant, bien loin de là. D’autres préfets étaient présents dans la pièce mais ne relevèrent pas, même s’ils sont loin d’être d’accord avec le gourou indien. Son regard s’attarda sur Blake, le gaillard aux cheveux roux, dont le sourire et la joie naturelle réussissait souvent à donner une bouffée d’air à l’empathe. Il se dirigea vers lui et posa sa main sur son bras, pour capter son regard un instant et se détendre un peu à son contact.

Tu as passé un bel été Blake ? On pourra en parler bientôt si tu en as envie.

Il retira sa main et s’éloigna rapidement. Sa chambre et sa solitude devenait absolument nécessaire à son bien-être. Comme il avait entendu la supplique de la capitaine même avant d’entrer dans la pièce, il annonça en se dirigeant vers la porte.

La mauviette va se coucher. Bonne nuit et bienvenue ou rebienvenue à Poudlard.

Lâcha-t-il à l’intention dès quelques nouveaux gryffondors étudiants arrivés le jour-même. Seulement l’un d’entre eux vient le voir, ne sachant pas où était sa chambre et ayant besoin de quelques renseignements. Il renonça à l’idée de quitter la salle commune sur l’instant pour lui répondre. Quand on venait lui demander de l’aide, le prince écoutait religieusement et faisant toujours de son mieux pour aider. Il n’était pas qu’un monstre après tout.

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Toujours aux trois quarts affalé dans mon canapé attitré, je remarque le signe que me fait Lionel pour m’enjoindre à les rejoindre lui et Roxanne mais je lui fais comprendre que non de la tête. J’aime bien Roxanne mais je connais le genre d’article qu’ils vendaient dans la boutique de son père et je n’avais pas l’ombre d’un gallion à dépenser pour ces choses-là. Pas cette année. J’économisais depuis plusieurs mois pour changer de balais et, me connaissant par cœur, je savais que si je voulais pouvoir me permettre mes sauts réguliers aux Trois Balais j’avais tout intérêt à ne pas dilapider mon argent à droite et à gauche pour un rien.
Lionel commence à prêter serment et je l’écoute d’une oreille distraite en tiquant un peu lorsqu’il annonce qu’il jure de ne s’en prendre qu’aux serpentards. Je le reconnais bien là, notre rouquin national. La minute qui suit c’est Rajani qui fait son entrée dans la pièce en nous rappelant bien qu’il n’était pas prêt de se défaire de sa condition de préfet dans l'immédiat. En même temps s’il ne mettait pas les points sur les -i dès le départ je ne doutais pas que les fraîchement gradés étudiants se feraient un plaisir d’abuser de la situation. « Mais on n’était pas au courant ! » Je me demande bien combien de fois on a dû servir cette excuse-là à Rajani. Je coule mon regard azure vers lui au moment-même où il tire sa révérence. J’ai peut-être là une excuse toute trouver pour m’éclipser ! Parce que je suis éreinté et je n’ai pas encore trouvé le temps de ranger ma malle…et je sais que si je ne le fais pas ce soir je ne le ferais que lorsque je manquerais de tel ou tel truc et ça va vite tourner au vinaigre. Je consens à quitter mon hamac de fortune pour emboîter le pas de l’indien quand, brusquement, une jeune recrue l’interpelle. Rajani marque un temps d’arrêt en me bloquant le passage par la même occasion, comme s’il comptait l’aider. Je soupire intérieurement parce que je sais que je viens de rater mon occasion en or de prendre la fuite. Je me penche un peu au-dessus de l’épaule de Rajani pour étudier le nouvel arrivant.

« — Tom, c’est bien ça ? »

Que je lance d’un ton égal.

« — Hein ? Non, moi c’est Jerry.
Ah, ahah, merde excuses-moi. J’étais pas très frais pendant la séance de répartition, puis avec les dégâts provoqués par les jaunes… »

Non, je n’ai aucune excuse valable. Tant pis, le mal est déjà fait. Je rougis en me grattant l’arrière du crâne et lui décoche un sourire désolé avant de tourner les talons, peu désireux de me recevoir une remarque désobligeante de la part de notre préfet en chef. Mais je ne suis pas tout à fait sûr que mon cadet ne se soit pas payé ma tête. Parce qu'il m'avait semblé avoir déjà entendu parler d'un dessin-animé moldu à propos d'un chat nommé Tom et d'une souris prénommée Jerry. Peut-être qu'il s'agit d'un sang-mêlé, voir d'un sorcier issu d'une famille de moldus ? J'hausse un sourcil en faisant volteface et lâche :

« — Attend, tu me fais une blague ou ... ? »

Au regard que me renvoi Rajani je préfère lâcher l'affaire et je lève les mains en l'air en signe de reddition. Manquerait plus qu'on m'incrimine de faire du zèle auprès des nouveaux, tient. Ni une, ni deux, je m’éloigne en direction du grand roux et la seconde d’après mes bras partent épouser la courbe de son cou pour un câlin. La seconde d’après mon câlin tout doux se mue en clé de bras et je tire Lionel vers l’arrière pour rigoler.

« — Au lieu de dilapider ton fric en engraissant l’empire Weasley, tu ferais mieux de me payer un coup à boire mon brave. »

Dans un élan j’essaye de le jeter vers le sofa que j’occupais encore il y a deux minutes, mais je doute fort d’avoir la force nécessaire pour ce faire.
Pando

HRP : défi de Roxanne accomplit.

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J’avais virer ma robe de sorcier en sortant de l’enceinte du bâtiment. Qui en a quelques chose à faire ? Quelle liberté quand même d’être en cursus universitaire ! J’avais passer du temps avec Conor et on s’est mis d’accord pour regarder un film – encore quelques chose où les sorciers devraient se mettre à la page – dans sa chambre avec ce merveilleux outil appelé « tablette ». Comment ça c’est pas très sorcier ? Bref je me tapotais le ventre encore conquise par le buffet de ce soir. Y’avait pas à dire, les banquets à Poudlards y’avait qu’ça d’vrai !!! Nan mais, je veux dire, je sais qu’on a des elfes de maison chez nous, mais bon, quand t’as le choix entre quinze plats… Quel bonheur. Bref j’avais donc chercher mon super pyjama de soirée popcorn dans ma chambre quand je tombais non sans être surprise devant la scène dans la pièce commune des Gryffondors.

Mon esprit se mit en marche à une vitesse folle alors que mon corps entier se préparait à l’instant à faire la fête. Roxane, notre super capitaine présentait les objets de la boutique de sa famille, les autres prenaient places, riaient et moi je commençais à étudier les objets qu’elle étalait pour les présenter. Oh bonheur et joie immense cette sainte soirée sans perte de points. j’observai mon préfet et lui lançai un sourire. Je sais qu’il a l’air un peu bourru comme ça, mais j’trouve qu’il a quand même une sacré classe.

Salut grand préfet Préfet ! Tu restes pas avec nous alors ?!

Je n’eus pas le droit à une réponse, soit il m’avait pas entendu, soit il avait sciemment décider de m’ignorer, peu importait, c’était pas ça qui allait entamer mon enthousiasme. Je savais que les autres verraient mes yeux pétillés d’un vert brillant alors que l’excitation de la fête me gagnait. J’enfonçais mon bras dans mon sac sans fond et brandit fièrement une bouteille en verre assez ronde de rhum. Je l’avais récupérée lors d’un voyage sur une île des caraïbes. Et il n’y avait même pas d’étiquette. Est-ce que ça allait décoiffé ? Sans doute. Je la posai sur la table.

Si quelqu’un veut servez vous !

Et je me jetais à moitié sur Roxane.

Eh Capitaine ! J’accepte solennellement de faire bouffer de limaces à nos ennemis jurés les verts ! Mais est-ce que je peux utiliser quelques uns de tes supers trucs pour embêter mon frère ? Après tout… C’est un ennemi sur le terrain !

Je lui fis les yeux doux, tout à fait persuadée que la capitaine ne refuserait de me vendre quelques chose. Il faut dire que je suis plutôt une bonne cliente, une cliente de la première heure même je dirai ! Je fis mes petites affaires avant d’observer Lionel s’approcher. J’eus un large sourire devant le grand. J’avais passer mes années d’école et de Quidditch avec lui, en plus il avait été mon capitaine à un moment. Bref. J’observe le rouquin.

Alors on veut faire affaire ?! Tu sais que j’ai été plus rapide hein ? Comment ça va ? T’as passer de bonnes vacances ?

Je sautillais presque sur place, oubliant mon rendez-vous avec mon frère. Peu importe il comprendra… Comment ça non ? Je risque encore de me faire taper sur les doigts, je pouffe, comme si c’était pas habituel ! Je fouille au fond de la poche de mon short pour sortir des pièces et des billets et le tend à Roxanne.

J’peux avoir quoi avec ça?

Ouais, je sais j’suis une gosse de riche, et en plus un peu princesse sur le bord ! Si bien que j’étais super contente qu’il fasse encore un peu chaud pour avoir pu m’habiller léger, et contente d’avoir eu du flair pour ma tenue, j’étais parée pour la soirée, et j’avais assez manger pour boire comme un trou. Tout était prêt pour passer une soirée mémorable. Je tournai la tête, saluant un peu tout le monde, j’avais vu Hiroshi quitté la pièce à la suite de notre préfet, tant pis je l’attraperai plus tard, en plus la capitaine l’avait dit, le premier à aller dormir était une mauviette ! Est-ce que j’ai une tête à me dégonflée ?!

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L’ascension des Gryffondor


Étalant un peu de la marchandise qu’elle avait transporté dans son sac, Roxanne vit avec plaisir bon nombre d’étudiants venir se ruiner dans la marchandise des Weasley, toujours en lui assurant que c’était pour emmerder les verts, ce qui lui faisait bien plaisir à entendre. Alors que son frère Fred répondait à plusieurs clients de son côté, la capitaine de l’équipe de Quidditch se fit d’abord aborder par son attrapeuse, qui sortait quelques pièces des poches de sa veste moldue. Petite gosse de riche, elle l’aimait bien quand même, et pas seulement pour ses compétences sur un balai, qui leur avait souvent valu la victoire sur le terrain, mais aussi parce qu’elle l’enrichissait.

S’emparant de la bouteille apportée par Callandra à l’invitation de celle-ci, Roxanne se servit un verre avec un sourire satisfait. Ça sentait bon et fort… une superbe façon de pimenter la soirée. Même leur préfet en chef aux chevilles enflées n’avait pas l’air assez dans son assiette pour gâcher sa soirée, alors elle allait être belle cette rentrée!

-Ouais comme toujours Dhawan, tu serais déçu du contraire, non? roucoula-t-elle avec innocence lorsqu’il souligna qu’elle commençait l’année en beauté. Bonne nuit Votre Altesse, chuchota-t-elle à mi-voix, sur un ton moqueur.

Gloussant, la jeune femme secouant la tête de gauche à droite, avant de confier d’un ton de confidence ses pensées à Reed.

-Notre avenir entre nos mains? Mon avenir est sur un balais!

Il n’était pas étranger à la plupart des étudiants de Poudlard que Roxanne n’était pas là de son plein gré et n’en avait rien à cirer de ses études. Tout ce qui l’intéressait, c’était le Quidditch, et devenir Capitaine de son équipe avait seulement été un coup de pouce pour l’encourager à poursuivre à l’école, parce que ça l’aiderait à obtenir un poste dans une équipe professionnelle plus tard!

-Ah, je vois bien là ton esprit compétitif, digne d’une Gryffondor, ma chère! Sur le terrain, la fraternité n’existe plus, seule la victoire compte! la félicita Roxanne lorsque Callandra lui expliqua qu’elle utiliserait ses farces et attrapes contre son propre jumeau s’il le fallait.

Si elle ne l’avait pas su pleine aux as, elle lui aurait assurément offert un rabais pour l’encourager dans cette voie… mais c’était inutile, Reed empestait les gallions à plein nez, alors hors de question de couper dans son propre profit. Bientôt, ils furent rejoint par Lionel, ce beau grand roux qui avait jadis été capitaine avant elle, et qui s’intéressa aussi à la marchandise en jurant, main sur le cœur, de n’utiliser ses achats que contre des verts.

-Voilà qui est bien parlé, co-capitaine… roucoula Roxanne avec son sourire le plus charmeur. Maintenant que t’es officiellement de retour sur le terrain… ils vont en baver les équipes adverses.

Et au moins, elle allait encore mieux bénéficier de son expérience de leader à ses côtés, voir même pouvoir être utile en tant que capitaine adjoint, pourquoi pas? Théoriquement, cette place appartenait à son frère, mais Blake avait bien plus d’expérience que Fred!

-C’est vous qui m’faites plaisir, prenez ce que vous voulez, oh ne t’inquiète pas pour le prix Callandra, avec ce que t’as sortie de ta petite poche magique, tu as largement ce qu’il faut pour t’offrir ce qu’il y a de mieux. J’ai justement le tout dernier spécimen de bombabouse à l’odeur empirée et plus persistante que jamais, ainsi que cet encrier explosif programmable. Il y a aussi un boomerang enchanté, mais…

Interrompant brusquement son monologue, Roxanne fronça les sourcils en se faisant piquer un de ses « clients » par Hiroshi. Également membre de son équipe de Quidditch, il était resté tranquillement dans son coin depuis le début, mais invectivait maintenant Lionel de garder ses gallions pour lui payer à boire. Aussitôt, Weasley lâcha un cri triomphant et s’empara à nouveau de la bouteille apportée par Callandra pour la ficher entre les mains du gardien de buts.

-Pas la peine de ruiner qui que ce soit en bière au beurre. Reed ici présente a prévu le coup, enfin ton coup visiblement. Laisse mon client préféré tranquille maintenant, on prépare l’ascension des Gryffondor et la descente aux enfers de Serpentard ici, tu sauras! Et puis tu es mal placé pour parler de dilapider ton fric en trucs inutiles, hein, Huang? Quel balais t'as en ta possession encore? lâcha-t-elle avec un sourire moqueur. Heureusement qu'il compensait par ses compétences élevées...

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La fête des universitaires
Lionel Blake & Roxanne Weasley & Hiroshi Huang




Comme il s’y attendait, la salle commune des Gryffondor devint très rapidement un bon gros souk avec tout le monde qui parlait et faisait n’importe quoi. Il avait même été doublé par Callandra qui voulait acheter elle aussi des produits que seuls les Weasley étaient capables de produire, ce qu’il utilisait régulièrement pour embêter les Serpentard. Surtout Lancelot. Il a été là il y a deux ans quand Hiroshi était dans le mal après ce qu'il avait fait, et depuis, il ne peut plus le supporter. Se battre avec les Serpentard était plus un jeu comique, il ne leur voulait rien de mal pour la plupart, mais lui... Lui il mériterait de se faire tabasser et être incapable de suivre les cours et disparaître très loin de Poudlard, et si possible même, d'Angleterre. Mais arrêtons de tergiverser, quelque chose plus intéressant arrivait. Roxanne lui fit un joli compliment, comme quoi il allait les battre. Il sourit et posa sa main sur son bras tout en le tendant pour montrer ses muscles.

– Crois-moi que je vais envoyer les goals ennemis à l’infirmerie avec mes boulets de canon !

Lionel avait remarqué le sourire charmeur de la Weasley mais supposait que cela était pour l’embêter. Qui pourrait croire que Roxanne ait un intérêt pour qui que ce soit ? Il y avait autant de chances que cela arrive qu’il devienne joueur professionnel de Quidditch. Attendez, elle a dit « co-capitaine » ? Il devenait co-capitaine à la place de Fred ? Il aimait bien le rouquin, c’était un bon ami, et puis les gens croyaient souvent qu’ils étaient de la même famille, il se sentait mal de prendre sa place. Mais la décision revenait à Roxanne, pas à lui. Le jeune Blake sentit une main sur son bras et se retourna, s’attendant à ce que son ami vienne lui faire une remarque après lui avoir demandé de venir. Mais non, c’était leur Préfet, Rajani. Lui demandant ce qu’il avait fait de son été. Houla. Voulait-il réellement l’entendre lui raconter qu’il avait passé son été à moitié à ne rien faire chez ses parents car il était mis à l’écart et à moitié à travailler chez Fleury et Bott à temps partiel pour les aider avec l’abondance de livres qui s’y trouvaient ? Bien qu’il ait demandé cela probablement par politesse, il savait que personne ne voulait écouter cela. Lionel lui fit donc un simple mouvement de tête affirmatif, lui disant qu’il lui en parlerait probablement plus tard, en privé. Rajani avait beau être le petit prince des Gryffondor, Lionel l’appréciait tout de même. Ce dernier affirma être la mauviette en allant se coucher. Toujours aussi à cheval sur les règles celui-là.

Son regard retourna vers le duo de filles et en particulier Callandra qui lui parlait en sautillant partout. Lui demandant elle aussi comment s’était passé son été. Mais tout le monde veut savoir ça ? Il n’allait quand même pas répondre à tout le monde. Le rouquin lui fit un simple haussement d’épaules comme réponse. Comme quoi ça allait et que ça s’était bien passé, rien d’anormal. Enfin… Rien d’anormal pour lui. D’autres pourraient trouver cela très dérangeant sa manière de vivre, mais eh. Si vous n’êtes pas un Blake, vous n’avez pas votre mot à dire. En parlant de cela, il était où Damian ? Probablement parti se coucher sans s’arrêter ici. Ça n’était pas plus mal, il ne lui avait pas adressé la parole en 10 ans, ça n’allait pas commencer aujourd’hui. Et c’était très bien ainsi. Lionel observait Callandra qui semblait faire ses emplettes auprès de la Weasley, sortant même de l’argent pour la payer. Cela lui rappela qu’il avait quelques gallions de côté avec son petit travail, et qu’après avoir acheté son Nimbus 2001, il lui en restait un peu et pouvait investir dans l’équipement anti-Serpentard.

Suite à cela, il sentit quelqu’un l’attraper par le cou à l’arrière. Il roula des yeux pour remarquer que c’était son ami de toujours et eu un léger sourire aux lèvres avant que ce câlin ne se transforme en clé de bras et se laisse faire, reculant peu à peu des deux jeunes filles pour finalement me laisser tomber sur le sofa. Hiro n’avait pas la force pour le jeter, mais quel ami l’aurait laissé se ridiculiser en essayant de bouger l’armoire à glace qu’était Lionel ? Il fit presque tomber le sofa en arrière mais réussit à reprendre un équilibre normal, et s’allongea de tout son long, donc ses jambes étaient au-dessus du vide, et regardait son ami, reposant sa tête sur sa main. Le coude étant posé dans le sofa, le regardant avec un -faux- regard de braise.

– Qu’attends-tu pour venir, grand fou ?

Il eut un léger rire, et entendit sa réponse. Il devrait plutôt lui donner son argent pour qu’il puisse boire. Il se retourna légèrement pour être dos collé au sofa, croisa les bras et ferma les yeux comme si il réfléchissait. Il aimait bien le tourner en bourrique par moment, c’était amusant.

– Te payer à boire ? Et en quelle occasion ?

Demanda-t-il tout en entre-ouvrant un œil avec un large sourire habituel. Pour donner suite à sa petite « altercation » amusante avec Hiroshi, la capitaine de Quidditch fit quelques remarques à l’asiatique. Alors qu’elle parlait, on pouvait voir le rouquin hocher la tête. L’ascension des Gryffondor et la déchéance des Serpentard… ça sonnait bien ! Puis il nota quelques secondes après qu’elle l’avait appelé son « client préféré », houla il se passe quoi ? Elle va bien la Roxanne ? Cela faisait deux allusions qu’elle faisait à Lionel. Le rouquin se leva d’un coup assez inquiet et posa une main sur le front de la jeune fille, et un sur le sien, vérifiant sa température. Après quelques instants il se recula.

– Non c’est bon, t’as pas de fièvre. Désolé de t’avoir embêtée, Roxy !

Dit-il avec son sourire habituel tout en la regardant droit dans les yeux. Il était maintenant à nouveau en face d’elle et plus bloqué par son cher ami étranger. Il s'était vraiment inquiété pour elle, que se passerait-il si leur Capitaine adorée était malade ? Surtout que les entraînements étaient pour bientôt... Et puis Roxanne quoi ! Lionel veut pas la voir malade mais la voir pleine de vie comme à son habitude.



Dernière édition par Lionel Blake le Lun 5 Oct - 18:59, édité 1 fois

descriptionLa fête des universitaires | LIBRE (Terminé) EmptyRe: La fête des universitaires | LIBRE (Terminé)

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« — Qu’attends-tu pour venir, grand fou ? »

Me lança Lionel après avoir esquissé un atterrissage parfait sur le sofa. J’ouvris tout d’abord de grands yeux ronds face à son excès de zèle, parce que ce n’était pas tous les jours que j’y avais le droit avec lui, mais je me rembrunis bien vite en maugréant dans ma barbe.

« — Me tente pas va, des fois que je serais capable de tout… »

Son rire me répondit et je le regardais en haussant un sourcil alors qu’il se renfonçait dans une position plus confortable contre le fond du sofa. Il croisa les bras et par mimétisme je fis inconsciemment de même. Chose qui nous arrivait souvent lorsqu’on se mettait à nous lancer des piques ou des défis un peu cons.

« — Te payer à boire ? Et en quelle occasion ?
Roh ça va, fais pas ton grippe-sou ! Tu peux bien me payer un verre de temps en temps sans raisons précises ! »

Avant même que Lionel ait eu le temps de me répliquer quoique ce soit, ce fut Roxanne qui s’immisça dans notre conversation. Vraisemblablement je venais de l’interrompre avec son « client préféré ». J’haussais un sourcil bien haut à cette remarque de sa part et mes lèvres s’étirèrent dans un fin sourire moqueur. Alors comme ça leur relation avait évoluée depuis que nous nous étions tous quittés à la fin de l’année scolaire passée ? Comment était-ce possible ? Je voyais mal Lionel entretenir une correspondance avec une donzelle juste dans l’espoir de se la serrer une fois de retour à Poudlard…quoique.
Mon regard fit la navette entre notre rouquin national et la jolie Weasley alors qu’elle me fichait littéralement une bouteille de vieux rhum entre les mains. Celle-là même que Callandra venait tout juste de nous ramener d’on ne sait où exactement. Je pris le temps d’analyser la bouteille, dépourvue d’étiquette, avant d’en dévisser le goulot pour aller sentir les effluves exotiques qui s’en échappaient. Je plissais le nez sans pour autant objecter quoique ce soit. Avec mon passif je pouvais clairement jauger cette bouteille comme étant un sacré nettoyeur d’intestins... En même temps je le prenais un peu comme un défi personnel, parce que je n’étais pas à mon premier alcool prêt et que s’il y avait bien une chose dont on pouvait m’accuser ; c’était plutôt d’avoir un penchant pour la bouteille plutôt que pour être dépensier. J’haussais les épaules en ignorant purement et simplement la remarque de Roxanne au sujet de ma mauvaise réputation, et m’éloignais un peu du couple pour aller récupérer un verre sur une autre table. Je sortis ma baguette pour y jeter un recurvite, puis je remuais le doux élixir avant d’en verser un fond dans mon verre attitré. Au même instant je vis Lionel se relever et tendre la main vers le front de Roxanne. Ohoh ! Dites-moi-donc ! C’est qu’il se montrait entrepreneur avec ça… Le rouquin fit mine de vérifier la température de notre capitaine, comme pour la chambrer gentiment par rapport à son soudain regeint d’intérêt à son égard, et je fis rouler mes yeux d’un air désabusé en levant mon verre en direction du plafond. Avec théâtralité je lâchais un soupire mélodramatique avant de me laisser choir sur une chaise non loin comme si j’avais été pris de vertiges.

« — J’en peux plus ! Par Merlin ! C’est trop pour moi ! »

Mon sourire naturel revint se ficher sur mes lèvres tandis que je détournais mon attention du couple pour m’intéresser à la dernière-née Reed. Celle-ci semblait tout affairée dans ses bonnes affaires. Moi aussi, j’étais subitement à la recherche d’une bonne âme qui accepterait de me prêter un coin d’épaule pour que je puisse y épancher mon manque d’affection, en digne célibataire endurci. Mais connaissant Conor, le jumeau de Callandra, je doutais fort que l’idée de la prendre, elle, dans mes bras, soit la meilleure idée du siècle… Aussi me contentais-je de l’approcher en gardant une distance latérale de sécurité et en m’installant sur une autre chaise à proximité de là où Callandra fourrageait dans les articles des Weasley. Je retournais la chaise pour pouvoir poser mes cotes contre le dossier et ainsi m’affaler contre. Mes yeux azur allèrent étudier les jolies yeux – émeraude aujourd’hui – de la métamorphomage.

« — Téma un peu comment il drague l’autre, on pari qu’elle l’envoi bouler ? Ou tu préfère parier sur le fait qu’il va réussir à la faire rougir ? 5 gallions. »

Je lui proposais ça plus pour faire la discussion avec cocasserie que pour tout autre chose, puisque je savais que les Reed n’avaient aucun problème d’argent. Elle n’était donc pas à 5 gallions prêts. J’attendis de voir un peu comment se goupillaient les choses entre le rouquin et notre capitaine avant de soupirer à nouveau en faisant danser le rhum dans sa bouteille. Je bus une rasade de mon fond de verre pour jauger la mixture...hm, pas mal. Pas mal du tout. On sentait que ça n’avait rien avoir avec le vieux rhum qu’on avait l’habitude de nous servir à Pré-au-Lard.

« — Tu comptes faire quoi comme conneries encore avec tout ça ? Et t’as pas honte de pousser à la consommation en ramenant tes propres crus ? Tu l’as dégotté où, celui-là ? »

Je fis mine d’ausculter le liquide à travers sa bouteille en verre tout en l’approchant de mon œil et en fermant mon second pour faire la focale. Puis je l’utilisais pour faire un tour d’horizon. A travers la forme arrondie de la bouteille tout semblait étrangement distordu et drapé d’une teinte verdâtre plutôt jolie.

« — Au fait, il est passé où ton frère ? Je suis déçu de ne pas le voir ici…il est pourtant le premier à s’incruster partout d’ordinaire, même dans ta piaule. »

Je ne mentais même pas, je l’aimais bien, moi, Conor. Je finis mon verre et m’en servit un autre, plus conséquent cette fois. C’était du rhum pur mais il n’était pas mauvais même à déguster tout seul. Puis je n’avais rien pour le diluer, flemme d’aller faire les courses et flemme aussi d’aller faire le tour des chambres dans l’espoir de trouver une canette de soda.
Pando

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