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Entre le fait d'avoir une bonne heure de libre et l'approche de la selection de l'équipe de Poufsouffle, Alix ne peut faire qu'une seule chose : manger avec entrain tout ce qui lui tombe sous la main. Pour commencer iel met la main sur un cupcake fourré à la confiture de fraise, l'admire sous toutes les coutures et mord dedans avec un plaisirs plus que visible. Seule ombre au tableau, littéralement, c'est la présence du capitaine de l'équipe de Poufsouffle qui lae regarde fixement comme si iel commettait un acte atroce et passible d'un emprisonnement à Azkaban.

« Promis, ce cupcake n'était à personne et j'ai pas demandé aux elfes de maison de nous faire une montagne de scone, j'suis l'innocence même !  »

Ses mains se lèvent pour clamer son innocence alors qu'à côté de lui Chaussette fait un sort à un scone.

« Tu as demandé une montagne de scone que tu n'a partagé avec personne ? T'es sérieux ? »

« Oh, heu... en nourriture comme en amour tous les coups sont permis !  » Avisant le regard annonciateur de mauvaises nouvelles, Alix s'empresse de reprendre « Et sinon comment tu vas aujourd'hui ? T'as vue, le temps est superbe, c'est parfait pour aller voler ! Aller, bonne journée hein ! »

Iel s'esquive rapidement pour ne pas subir le sermon du capitaine, mais pas assez pour entendre que son poste dans l'équipe est en danger s'iel ne continue à piquer tous les gâteaux ou que des volontaires pour rejoindre l'équipe jouent mieux qu'iel. C'est décidé, Alix va réellement sortir un balai et tirer un cognard de la boite pour aller s'entraîner. Si son objectif initial, après fuir le capitaine, était de se rendre sur le terrain de Quidditch, iel a vite changé d'avis en voyant le trop de monde et à viré ses pas jusqu'au lac noir. L'intérêt avec ce lac, c'est que s'iel tombe de son balai alors le calamar géant pourra lui chatouiller les orteils et lae motiver à rejoindre très rapidement la surface ainsi que son balai.

« Ok p'tit cognard, t'es sympa et tu évites de briser la nuques des gens autour du lac même si normalement je vise à peu près bien. Pigé ? Cool, brave cognard. »

La demande formulé à l'objet sans conscience, Alix le libère et s'élance dans les airs sur son balai et armé de la fidèle batte des batteurs iel se prépare à faire danser la balle. Les premiers lancers sont assez basique et du domaine de l'échauffement, mais les suivant sont un peu plus marqués mais pas bien fort puisque son but premier est d'envoyer le cognard où iel le souhaite plus que de l'envoyer hors des limites de Poudlard. D'autant plus que ce jeu tranquille lui permet de bougonner contre son capitaine qui annonce que son poste n'est pas assuré tout en observant les élèves autour et dans le lac. Iel remarque d'ailleurs que personne ne se fait embêter par le calamar et c'est absolument injuste, totalement injuste.

Bien, il est maintenant l'heure de se défouler pour ne pas avoir eu l'occasion de manger autant de cupcake qu'iel le désirait. Alix fait un moulinet inutile du bras pour se l'échauffer, donc à moitié inutile, mais surtout pour se motiver à taper aussi fort que possible et... c'est le drame. Sous ses yeux alarmés le cognard se précipite à toute allure sur une pauvre élève qui ne faisait rien d'autre que profiter du lac. Ni une ni deux, Alix se précipite droit sur le cognard en se maudissant d'avoir trop déposé ses gallions pour des batises au lieu d'acheter un meilleur balai. Au moins, il n'a va ni assommer le lapin nain, ni le Shaton, ah et pas sa cousine non plus. D'ailleurs, il connait tellement bien son balai qu'il ne se dirige pas la cible du cognard mais dans la direction qu'il espère qu'il prendra histoire de le récupérer avant qu'il ne fasse trop de dégât.

« Laissez passer le cognard ! »
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Je m'en vais à la rivière en chantant ce doux refrain


Septembre chantait et Koharu souriait. Les oiseaux qui la bercaient l'apaisaient alors qu'elle se dirigait vers le lac noir. Koharu avait toujours adoré le parc de Poudlard, et ce depuis son arrivée. Il était commun pour elle d'y aller après ses sessions d'études à la bibliothèque. Étudier était dur pour Koharu, qui était loin d'être un génie, mais jamais le lac noir n'avait failli à la calmer. Elle aimait plonger ses pieds sous l'eau et sentir le courant glacial contre ses chevilles. Parfois elle lisait des livres sur l'herbe au bord du lac. Si souvent qu'on pourrait quasiment penser qu'elle appartenait aux Serdaigle, mais Koharu, elle apprenait parce-que ça la bénéficierais plus tard, pas parce-qu'elle appréciait ça. Elle préférait apprendre aux autres, pour une raison incongrue. Peut-être que la choixpeau s'était trompée, se disait-elle, puis elle se rappelais de qui elle était. Le choixpeau n'avait pas hésité une seule seconde. Elle était une pure serpentard. Comme toute sa famille sans doute, s'ils étaient allés à Poudlard.

Arrivée enfin au lac après quelques minutes de marche, Koharu se débarrassa des chaussures étroites qui la séparaient du sol. Elle les placa près d'un buisson, histoire qu'elles soient plutôt discrète. Que quelqu'un les vole l'étonnerait, mais on n'était jamais cent pour cent sûrs.

Un des avantage du lac noir, c'est qu'il n'était jamais trop bondé, sûrement parce-qu'il était assez grand pour donner de l'espace à tous. Au loin, elle pouvait déjà aperçevoir certains étudier ou discutailler sur l'herbe, ou même certains casse-cous s'amuser à nager plus loin qu'il n'était recommandé. Même Poudlard abritait des idiots, apparement. Ce qui l'avait le plus étonnée, cependant, c'était la personne qui s'entraînait au dessus de l'eau, un peu plus loin. N'était-ce pas un peu... risqué ? Une chute à cette hauteur tuerait, sans aucun doute. Ça lui rappelait les entraînements de ses cousins à Mahoutokoro, au dessus de la mer, agîtée et orageuse. Koharu n'était pas sûre que ce soit une bonne chose. Pour elle, il s'agissait là seulement de risques inutiles.

La personne semblait avoir la situation sous contrôle, alors Koharu ne fit rien. Elle ferma les yeux, respira un grand coup, et se concentra sur le soleil frappant sa peau. Elle avait sûrement trop étudié aujourd'hui. Quelques vertiges la prenait, d'un coup. Peut-être qu'elle devrait rentrer.

Un cri.

Elle entendit le mot cognard, alors Koharu ouvrit les yeux, pour oh quel surprise, en voir un arriver en plein dans sa direction. Jeter un sort serait trop long, alors la seule solution qu'elle avait si elle ne voulait pas faire séjour à l'infirmerie, c'était bien esquiver. Sauf qu'avec l'eau, ses mouvements seraient plus lents, non ? Koharu en savait absolument rien, alors elle se recroquevilla, se fit aussi petite qu'elle pût et ferma les yeux bien fort, en espérant que le cognard passe au dessus de sa tête.



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Le membre 'Koharu Takano' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Rp' : 2

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Pour un mois de septembre, force est de constater qu’il fait toujours plutôt beau. L’été indien dirons-nous. C’est pourquoi, sur un temps où je n’ai rien à faire, j’ai décidé de piquer une tête dans le lac noir. Oui, le lac noir ! Celui là même où pour me moquer d’un pote, je lui avais dit que nager dedans était le secret de ma musculature. Bon. J’avais pas prévu que cet andouille ira nager dans des zones un peu trop éloignées et dangereuses… quand on est un uke fragile, mais moi, je ne suis pas de ce bois là !

Je me dirige donc vers le bord du lac et commence à alors à retirer mon uniforme sous les yeux de quelques minettes assises sur la pelouse. J’avais prévu le coup, donc j’ai déjà mon maillot en dessous de mes fringues ! Une fois plus uniquement vêtu de mon fameux maillot de bain – avec le symbole de Griffondor sur le derrière, j’accroche ma baguette à ma cuisse droite. On sait jamais. Finalement, j’offre un dernier clin d’œil aux filles et je laisse se chamailler pour savoir à qui il était adressé pendant que je vais piquer une tête.

Bon, l’eau n’est pas hyper bonne, mais on va dire que c’est vivifiant. Avant de m’aventurer plus loin, je mouille la nuque. Puis, je commence plusieurs longueurs qui sans m’en apercevoir m’éloigne du bord. Bah, qu’est-ce qui peut arriver ? Au pire, je ferai un bras de fer avec le calamar géant ! On verra bien qui est le plus musclé de nous deux ! Le temps de quelques mouvements sur le dos, j’aperçois Alix sur son balai qui s’entraine. Au-dessus du lac… bah, pourquoi pas ! Je ne fais toutefois pas plus attention à lui. Il est déjà bien assez collant comme ça, alors je savoure ma tranquillité quand je le peux.

Plusieurs brasses plus tard, un hurlement alertent mes sens de Griffondor (sur)protecteur. Sous mes yeux ébahis, le cognard avec lequel Al s’entraine fonce droit vers une donzelle. Le genre de petite maigrichonne avec qui j’ai des sueurs froides quand je les prends dans mes bras de peur de les péter en deux sans le vouloir. Sans réfléchir, je sors ma baguette sur le champ en pensant stopper le cognard en vol. « Immobilis ! » Ce qui bien évidemment ne sert à rien à cause de la distance. Putain Shah, utilise ton cerveau, tu viens de perdre de précieuses secondes. Ni une ni deux, je range ma baguette dans son holster et pique une nage du plus rapide que je le peux.

Je finis, enfin, par arriver au niveau de la meuf. Je la prends dans mes bras pour la remonter et veille à la porter avec précaution sur le bord. Une nouvelle fois, je sors ma baguette, mais cette fois pour lui administrer les premiers soins. C’est bien la première fois que je dois gérer un cas de choc de cognard en pleine tête ! Je crois que je vais infliger une petite punition à l’autre catastrophe d’Alix. Pour l’heure, je marmonne quelques formules curatives en espérant qu’elle revienne à elle.

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Le membre 'Shahryar Khan' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Sort/Quidditch' :
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La plupart du temps, lorsque l'on prévient quelqu'un d'un danger la personne fait tout pour l'éviter quitte à se rendre ridicule en esquissant un saut bizarre. Sauf que ça, c'est ce que font toutes les personnes censées et normales, mais aucunement les filles de serpentards qui doivent s'imaginer avoir le dessus sur un cognard envoyé avec force. Franchement, a-t-on idée de rester sur place quand on risque de se prendre un cognard dans la figure ? Certes, personne n'est encore mort à cause d'un cognard mais étant donné que l'on se trouve à Poudlard il est bien possible que le meilleur élève meurt à cause d'une pâquerette. Quoiqu'il en soit, la demoiselle en détresse à finit la tête sous l'eau, enfin Alix n'a pas franchement fait attention mais iel suppose que c'est le cas, mais comme iel a repéré le grand, le valeureux et le fier Shaton il n'y a pas de raison de s'inquiéter pour la verte. Donc, pendant que la demoiselle se noie et que le damoiseaux tente supposément de la sauver, lea batteur battu se décarcassé pour récupérer la précieuse balle qui refuser de rester immobile. Ce n'est qu'après une petite poursuite et un sort d'immobilisation qu'Alix parvient à récupérer le cognard et le maintenir calmement sous son bras pour amorcer une descente vers la berge là où patiente tranquillement la boite de quidditch.

L'environnement sécurisé, Alix garde sa batte dans une main, son balai dans la seconde et se précipite vers la blessée pour s'assurer qu'elle n'a pas réellement causé la première noyade à Poudlard depuis des années. Elle n'est pas contre l'idée d'être la première à réaliser quelque chose depuis de nombreuses années, mais étonnement le fait que ça puisse être quelque chose d'aussi définitif que la mort ne l'enchante pas tellement. Heureusement, Alix avait raison de ne pas s'inquiéter totalement puisque Shahryar s'occupe bel et bien de la blessée, de toute façon il est un griffondor et un futur médicomage alors quoi de plus normal ? Pour autant, Alix ne fait pas vraiment sa fière et plus elle s'approche du duo et plus son pas se ralenti et hésitant.

« Comment elle va, Shat... Shahryar ? »

Sa voix est moins assurée qu'à l'accoutumé et il se contente même du strict nécessaire sans donner à Shah le surnom par lequel il se plaît à l'appeler le plus souvent. De plus, bien qu'à porté de voix et de vue, il se trouve plusieurs pas derrière eux n'osant pas s'approcher plus. Alix est peut-être une personne passant plus souvent sno temps à s'amuser qu'autre chose, ce n'est pas pour autant qu'il n'a aucune notion des choses.

« J'suis désolé, je visais vraiment pas heu... elle. J'ai raté mon coup et j'ai pas vraiment un balai assez rapide pour aller plus vite que les cognards... Faut l'emmener à l'infirmerie ? »

Pitié, qu'elle aille assez bien pour ne pas en avoir besoin. Alix est un habitué de l'infirmerie mais en tant que blessé, pas en tant que blessant et il n'a pas tellement l'envie de se retrouver face à face avec un professeur ou un surveillant. Bizarrement, il n'assume pas vraiment son échec.

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Je m'en vais à la rivière en chantant ce doux refrain


Alors qu'elle fermait les yeux, Koharu pria d'entendre le cognard s'écraser bruyamment sur l'eau, mais tout ce qu'elle entendit, ce fut un bruit aigu. Tout ce qu'elle sentit, ce fut une douleur horrible sur son crâne, pas le genre de douleur constante, le genre de douleur qui s'en allait et puis revenais de plus belle, comme une alarme.

Acouphène dans ses oreilles, elle tentait de rouvrir les yeux, mais elle n'y voyait que du flou. Elle pouvait apercevoir une silhouette, mais c'était tout. Tout ce qu'elle voulait à cet instant, c'était perdre conscience et se réveiller à l'infirmerie, histoire que cette douleur s'arrête. Puis petit à petit, sa vue devint plus nette. Elle ne reconnaîsait pas la personne qui l'avait soignée, elle aurait bien le temps de faire se présenter, plus tard.

« Merci. »

Elle marmonna tout bas, pas habituée à la reconnaissance et pas d'humeur à faire comme si. Elle était frustrée, et l'idée qu'elle aurait pû perdre la vie d'une manière aussi idiote l'énervait au plus haut point. Koharu regarda autour d'elle, cherchant du regard son presque-meurtrier avec un regard aussi assassin que ce foutu cognard. Plus jamais elle regarderait le quidditch, plus jamais.

Koharu avala sa salive et après s'être frotté le crâne, se retourna vers l'inconnue au cognard. Elle n'avait plus l'air si confiante que ça, les pieds au sol, si bien que Koharu eut du mal à retrouver sa colère, un instant. Elle s'excusa, mais Koharu ne se contenterait pas de ça. Elle n'était pas satisfaite, et elle ne savait pas ce qu'elle voulait d'autre que des excuses, mais l'idiote lui en voulait toujours.

« Si j'ai besoin d'aller à l'infirmerie, alors j'y irais seule. »

Elle avait dit ces mots sèchement, sans la moindre estime pour l'inconnue. Koharu devait se reprendre en main, elle avait fait des efforts ces dernières années pour avoir l'image d'une fille gentille et polie, c'était pas un coup sur la tête qu'allait détruire tout ça.

« Je ne t'en veux pas. Je devrais aller assez bien pour aller jusqu'à l'infirmerie, alors continue de t'entraîner. Sois plus prudente, juste. »

Koharu se leva lentement, prenant soin de ne pas être trop brusque avec son corps affaibli, elle prit ses chaussures posées non loin et rejoignit le chemin principal. À l'infirmerie, elle refuserait d'expliquer comment elle s'était fait ça, Puis au final, tout irait bien. Elle passerait une nuit surveillée là bas, mais au final, aucun dégât à long terme. Heureusement pour l'inconnue au cognard. Elle l'aurait bien regretté, sinon.

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C’est avec un certain soulagement que je vois la jeune fille reprendre des couleurs. Pendant qu’Al, tout penaud, vient à notre rencontre… mais tout en restant à bonne distance. Pour une fois qu’elle fait sa timide, c’est bien qu’elle sait qu’elle a fait une bonne grosse connerie ! Elle demande pour son état. Eh bien, comme quelqu'un qui a reçu un cognard sur le coin de la mouille, j'ai envie de dire ! « Elle devrait se reposer un peu, mais oui, ça va aller. » D’ailleurs, la jeune fille revient à elle. Je dois avouer être étonné par son calme relatif. Surtout quand on prend en compte qu’il s’agit d’une serpy. Même pas une seule petite menace. Eh bah !

Par contre, alors que je me pousse pour la laisser se relever. Là voilà qui se carapate seule à l’infirmerie. « Hey ! Mais ne va pas seule à l’infirmerie ! » Merde, je suis toujours à moitié à poil et mouillé. « Al ! Va la suivre ! On sait jamais, dès fois qu’elle tombe dans les vapes sur le chemin. » lancé-je à mon ami. Non mais, vouloir aller seule à l’infirmerie quand on s’est pris un cognard sur la tête… finalement, peut-être que quelques neurones ont été touché ! Faut vraiment être inconscient.

D’un coup de baguette, je me sèche et j’enfile aussi vite que je le peux mes fringues. Pendant qu’au loin, les deux silhouettes remontent vers le château. Habillé à la hâte, j’attrape mon sac et me mets à courir pour les rejoindre. Je les rattrape vite – l’avantage des grandes jambes. « On te laissera tranquille une à l’infirmerie, mais en attendant, pas question de te laisser y aller seule. »

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