Diana Croford , 28 ans
Mon identité
Je me nomme Croford Diana et j'ai actuellement 28 ans. J'ai vu le jour dans la charmante ville de Londres , le 29 octobre 1992 . Mon père étant un Sang-Mêlée et ma mère une Sang-Pur, je suis donc Sang-Mêlée . Je suis actuellement professeur de potion . Ma baguette est en bois de Cèdre et son cœur est en crin de licorne.
Ma vie
Diana est née en 1992 à Londres dans une famille très traditionnelle et conservatrice des valeurs du passé. Elle n’a jamais connu son père et cela a été un grand mystère de sa vie jusqu’à encore aujourd’hui. Si elle a connu la seconde guerre des sorciers, cela ne l’a pas du tout impactée car elle a grandis dans un cocon protecteur et donc n’en a eu conscience qu’en 2003, à son entrée à Poudlard en première année où elle a été répartis à Serpentard. Très jeune, elle voulait déjà devenir potioniste, meilleure que Nicolas Flamel. Lors de sa première année, elle a découvert le Quidditch qui l’a tout de suite passionnée et l’a motivé à en faire son métier. Elle a joué au poste de batteuse pour sa maison durant toute sa scolarité, ce qui n’a pas plus à sa famille mais elle s’en moquait totalement car c’était sa passion. C’est ainsi qu’en 2010 elle est entrée comme professionnelle dans l’équipe de Quidditch de Flaquemare, une des treize meilleures équipes en Grande Bretagne et Irlande. Avec eux, elle a gagné plusieurs Coupes de la Ligue avant de découvrir le Quodpot en 2012 alors qu’elle allait faire une démonstration de Quidditch aux Etats Unis d’Amérique.
Ce nouveau sport, un cousin du Quidditch, l’a tout de suite passionnée et elle a décidé de se reconvertir dans ce sport. Diana a annoncé sa retraite sportive du Quidditch pour commencer celle de Quodpot dans l’équipe de Salem, la seule équipe féminine du championnat. En 2015, lors d’un match, elle a eu un grave accident qui l’a forcé à passer une année à l’hôpital et a signé son arrêt de carrière professionnelle, ayant perdu en partiellement l’usage de sa main gauche.
Elle s’est installé pendant 4 ans comme potionniste à New-York, étant titulaire d'un Diplôme de l’institut magique des sciences (IMS) option potion qu'elle a passé en Angleterre, par correspondance alors qu’elle commençait sa carrière de joueuse professionnelle. A la rentrée 2020, Diana est devenue professeur de potion à Poudlard après avoir appris que la place était libre et y avoir postulé.
La version longue et détaillée si jamais cela vous interesse.
Mais à part cet événement de 1994, je vécus un début d’enfance assez calme, ouaté, protégée de l’extérieur par les membres de ma famille. Mais cette bulle éclata en 1997 alors que j’avais cinq ans. Et j’étais en âge de comprendre ce qui m’entourait, notamment que ma famille était malheureuse. À l’environ de juin, je les ai vu pleurer abondamment et mamie se complaire dans les “Pauvre Albus Dumbledore”. Forcément j’ai demandé qui c’était ce « Albus Dumbledore » et on m’a répondu que c’était le plus grand sorcier de tous les temps et qu’il venait de partir loin de nous. J’ai eu beau tenter de leur dire qu’il allait revenir, qu’il était juste parti en voyage, on ne m’écoutait pas. Je passais donc à l’autre solution, distribuer les mouchoirs, mais cela me lassa bien vite et à un moment, je fixais la boite de mouchoir en la suppliant de voler toute seule jusqu’à ceux qui en voulait. Et elle se mit à le faire et à distribuer son contenu entre mes grands-parents et maman. Cela les consola un peu. Je venais de déclencher mes pouvoirs.
Le reste de mon enfance fut assez calme, le monde magique étant secoué dans tous les sens tandis que je grandissais mais sans que je n’en sache rien. Je fis ma rentrée en première année à Poudlard en 2003. A présent j’étais une grande, j’étais forte. Et puis surtout j’allais sortir du cocon familial que j’avais connu jusqu’à là, ayant été élevé à la maison. Vous vous en doutez bien que mamie n’allait pas mettre sa petite fille à l’école avec des Moldus voyons. Donc avec maman, elles m’élevèrent toute les deux, m’apprenant à lire, à écrire mais aussi quelques bases de magie, que je ne sois pas démunie. Je fus répartie à Serpentard, la maison des ambitieux. Et il faut dire que je l’étais, je voulais devenir la plus grande potionniste qu’il n'ait eu sur terre. A côté de moi, Nicolas Flamel serait un apprenti, je m’en étais fait la promesse. A la maison j’étais très doué pour la cuisine, les potions cela devait être pareil. Et puis le Quidditch arriva dans ma vie. Le premier cours de vol, je l’appréhendais forcément, n’étant jamais montée sur un balai, trop dangereux selon mamie, mais il se passa bien. Toutefois je me dis que cela pouvait être utile, mais sans chercher plus loin. Et puis la saison de Quidditch commença et je vis mon équipe jouer. Ce fut merveilleux de les voir évoluer sur leur balai et se disputer le Souaffle. Certains camarades de mon année trouvaient cela ennuyeux, pas intéressant, mais pas moi, moi cela m’épatait. Finalement je serais joueuse de Quidditch professionnelle et je traverserais le monde pour jouer partout. A chaque match de mon équipe, je les encourageais de mes petits poumons, sous le soleil, la pluie, la neige, le brouillard, à chaque fois qu’ils jouaient, j’étais dans les tribunes. Quand j’avais le temps, je venais même assister à leur entraînement, juste pour le plaisir de les voir évoluer et emmagasiner les formations qu’ils apprenaient. J’allais même aux matchs des équipes des autres maisons pour voir leur style de jeu. J’étais vraiment une passionnée.
Et ma passion fut renforcée quand je reçus beuglante sur beuglante de la part de ma grand-mère car elle ne considérait pas cela comme un sport digne de sa petite fille, trop dangereux, pas assez prout prout. Bon, elle ne le dit pas dans ces termes, mais c’était l’idée. Je reçus aussi des beuglantes de mon grand-père et de ma mère, mais ils étaient moins virulents, cela se sentait qu’ils me l’envoyaient pour faire plaisir à mamie. Et cela atteignit son apothéose quand j’entrais en deuxième année dans l’équipe de Quidditch au poste de batteuse, la violence à l’état brut, ce qui bien sûr ne convenait pas du tout à ma grand-mère qui me le reprocha durant un long moment. Et éventa un secret de famille. Alors que j’étais rentrée pour les vacances de Noël, elle me sermonna, comme souvent depuis la rentrée et moi je répondis, jusqu’à recevoir dans la figure “Fais bien ce que tu veux. De toute façon tu es bien comme ta mère à ne pas écouter les conseils pour préserver ta dignité. Toi c’est ce sport de brute que l’on appelle Quidditch, elle c’était un incapable tout ce qu’il a de plus détestable”. Par incapable comprendre, pas un Sang-Pur. Sur le coup, je restais muette, sous le choc, puis je m’en remis et demanda des explications, explications que je n’eus pas, bien entendu. Elle s’était refermée comme une huître, renfrognée. Et je ne cherchais pas à insister, ayant eu des informations que je réclamais depuis à présent un long moment. Et il s’en passa un nouveau long avant que j’aie le fin mot de l’histoire. A la rentrée, je retournais à Poudlard avec ce secret dans ma valise et l’y gardais durant quelques années. J’eu un reste de scolarité assez classique, réussissant dans les matières qui m’intéressait, ne me foulant pas pour celles qui ne m’aideraient pas pour être la meilleure en potion. Car j’avais bien conscience d’une chose, il fallait que j’assure mon avenir, pour le jour où je ne pourrais plus jouer au Quidditch.
Je sortis de Poudlard en 2010 avec des Aspics assez honorable et m’engagea aussitôt comme joueuse de Quidditch professionnelle dans le Club de Flaquemare, une des treize meilleures équipes en Grande Bretagne et Irlande. On remporta plusieurs Coupes de la Ligue avec mon équipe et on voyagea partout à travers le monde, jusqu’au Etats-Unis d’Amérique en 2012. Là-bas, avec mon équipe, on fit une démonstration de notre sport et les américains en firent de même avec leur sport qui s’appelle le Quodpot. Il est un peu différent du Quidditch, mais tout aussi intéressant, et comme lors de ma première année à Poudlard, je m’y intéressais plus sérieusement. Tout d’abord par curiosité et envie de découvrir, et ensuite par nécessité, ayant décidé de me reconvertir dans le Quodpot. Pour moi, j’avais fait le tour du Quidditch, je voulais découvrir autre chose. J’annonçais donc ma retraite du Quidditch et commença ma carrière dans mon nouveau sport, recommençant tout à zéro, tout en ayant quelques bases du fait de mon passé sportif. Je déménageais de l’Angleterre pour Salem, intégrant leur équipe professionnelle assez aisément au terme d’essai réussi. J’avais la pratique, il ne me manquait plus que la théorie, les tactiques, les formations, ce qui me pris un peu de temps à assimiler, devant oublier mes réflexes de Quidditch au préalable.
C’est ainsi que je commençais ma nouvelle carrière en 2013, jouant pour Salem avec toute mon ardeur et mes capacités, n’hésitant pas à foncer dans le tas pour tenter de marquer des points quand il le fallait. Puis vint mon accident, en 2015. Ce jour-là, on jouait pour la coupe du championnat de la ligue contre la Nouvelle Orléans, à New-York, en terrain neutre. J’entrais sur le terrain avec mes coéquipières, on se mis en place et le match commença. On était au coude à coude du point de vue du score avec la Nouvelle-Orléans, défendant chacun nos chaudrons. J’eu le quot et m’apprêtais à le lancer quand il m’explosa dans la main. Cela n’était pas normal, un nouveau venant d’être mis en jeu. Je ne compris pas ce qu’il se passa, mais je me souviens de chuter de mon balai, la main totalement en sang avant que ce soit le trou noir total. Quand je me réveillais, je ne portais plus ma tenue, ma main était bandée et j’entendais chuchoter autour de moi. Quand j’ouvris les yeux, je vis une quantité de regards se diriger vers moi, l’air inquiet, la plupart appartenant aux membres de mon équipe. Tentant de leur sourire pour les rassurer, j’essayais de me redresser, en vain. Du côté gauche, je ne sentais rien et me cassa la figure. Ma capitaine vint m’aider à me rallonger tandis qu’une batterie de médicomage s’affairait autour de moi à extrapoler sur mon état. Apparemment j’avais été inconsciente seulement une poignée d’heure et je n’avais rien de cassé, ce qui était la bonne nouvelle, malgré ma chute de balai. Quant au match, on avait perdu, la Nouvelle-Orléans gagnant encore une fois, mon équipe ayant préféré déclarer forfait en voyant mon état. On gagnerait l’année prochaine. Je n’eut pas le temps d’échanger plus avec mes coéquipières, l’heure des visites s’achevant et je ne tardais pas à me retrouver seule, replongeant rapidement dans les bras de Morphée à l’aide d’une potion de sommeil.
Je fus réveillée au milieu de la nuit par une présence dans ma chambre en sentant que l’on me touchait. Ouvrant les yeux, je tournais la tête vers le médicomage qui observait ma main, marmonnant, encore ensommeillé, un “Qui êtes-vous”. La réponse fut courte, le médecin en charge de mon cas pour cette nuit, et je me rendormis, assommée par la potion de sommeil que j’avais pris en début de soirée. J’appris au matin son nom, Monsieur Southman, après l’avoir décrit à la médicomage qui fut en pâmoison en pensant au bougre. Je souris en la voyant rougir, il semblait à son goût, ce qui était assez amusant. Je restais une année à la clinique, sans jamais revoir l’homme de la première fois, sans doute qu’il n’était là que temporairement. Et puis j’avais d’autre chaudron à récurer, ma main gauche ne retrouvais pas ses sensations, ce qui inquiétait aussi les spécialistes. Je passais une batterie de test et d’examens et le verdict tomba, j’avais perdu l’usage de cette main. Je ne voulais pas y croire, mais je savais ce qu’on allait me dire. Et je ne fus pas déçue. A la fin de mon séjour, un médicomage, les responsables de mon équipe et mes coéquipières débarquèrent tous dans ma chambre pour m’annoncer la nouvelle, le Quodpot c’était terminée pour moi, je ne pourrais plus jouer à un niveau professionnel. Je n’y cru pas, mais cela était vraiment le cas, je n’avais plus assez de sensations dans ma main gauche pour continuer de jouer, plus assez de prise sur un quod. Ma carrière s'achevait là. J’hurlais, pleurait, maudissait le monde entier, mais cela n’y changeait rien, c’était finis. Je finis par renvoyer tout le monde pour rester seule. Le lendemain, je sortais de la clinique, seule, endeuillée de ma passion. J’avais un moyen de reconversion, ayant suivi au début de ma carrière de Quidditch l’école supérieure de potion pour le jour où je ne pourrais plus jouer. Cela était simplement arrivé plus vite que je ne le souhaitais, et surtout je ne l’avais pas choisi. Je vendis ma maison à Salem, ne voulant plus vivre dans cette ville au risque de réveiller des mauvais souvenirs, m’installais à New-York, commença à monter mon petit commerce et devint potionniste. Je ne pouvais plus jouer à un niveau professionnel à cause de ma main qui en portait encore des marques, mais je pouvais toujours touiller un chaudron et verser des ingrédients dedans. Cela dura quatre ans après l’arrêt de ma carrière de joueuse professionnelle, me consacrant aux potions.
Puis j’ai appris que Poudlard recherchait un professeur de potion pour la rentrée de septembre 2020 donc je me positionnais sur le poste et finit par l’obtenir. A présent j’enseigne à Poudlard ma passion des potions, que ce soit aux élèves ou aux étudiants et prend plaisir à aller encourager les équipes de Quidditch quand vint le week-end, aimant toujours cela. Parfois même je me rends sur le terrain pour donner des coups de batte dans le cognard que j’ai toujours avec moi, juste pour le plaisir de retrouver cette sensation passée.
Le Questionnaire du Choixpeau
Ce questionnaire a été réalisé durant sa scolarité. Les réponses de la seconde couleur sont celle de la Diana adulte.
1 - Quel est votre élément préféré ?
Le feu. Le vent je dirais
2 - Quelle est votre matière préférée ?
Les potions, bien évidemment. Et je les aime toujours autant
3 - Vous avez une heure de pause, que faites-vous ?
Regarder mon équipe de Quidditch s’entrainer. Taper dans un Cognard au terrain de Quidditch
4 - Quel est votre animal fantastique préféré ?
Je ne sais pas, le niffleur ? Je dirais plus l’Oiseau Tonnerre à présent
5 - Quel est votre sort préféré ?
Aucun, je n’aime pas les cours de Sortilège. Incendio pour allumer les chaudrons. Mais aussi celui pour que mes potions se touillent seules.
6 - Quelle est votre plus grande qualité ?
Je sais faire de supers potions. Je sais toujours faire de supers potions.
7 - Quel est votre plus gros défaut ?
Ne pas écouter dans les cours qui ne m’intéressent pas. Sanctionner trop sévèrement les élèves qui ont le même comportement que moi j’avais à leur âge dans les cours qui ne m’intéressaient pas ?
8 - Quel métier désirez-vous faire ?
Joueuse professionnelle de Quidditch. Professeur de potion cela me va bien
Qui es-tu ?
Maman Ourse, Petit Chat, je réponds à beaucoup de nom. J’ai 24 ans et je suis bien lancé dans la vie active, même si à l’heure où j’écris cette fiche je suis en vacances. J’adore lire, écrire, m’amuser et faire du RP.
Ton avis sur le forum ?
J’ai débarqué ici grâce à une pub Facebook et je vous ai trouvé tout beau dès que j’ai pu voir le design. Et vous êtes tous tout mignon.
Un mot sur ton personnage ?
- Durant toute sa scolarité et jusqu’à son accident, Diana avait comme Patronus une chouette. Et du jour au lendemain, la chouette est devenue une forme indistincte, comme si elle avait perdu de sa puissance, son souvenir le plus heureux, son premier match gagné, se tintant d’amertume, pour finalement reprendre un peu de poil de la bête et retrouver un Patronus corporel, une louve élancé.
- L’Epouvantard de Diana est sa fin de carrière. Elle se voie chuter très lourdement de son balai et une délégation de Medicomage, ses partenaires de jeu, les responsables de son équipe viennent autour d’elle et lui répète en boucle que sa carrière est finie, qu’elle ne pourra plus jamais remonter sur un balai pour jouer à un niveau professionnel. Elle ne pourra plus sentir la sensation du vent dans ses cheveux quand elle vole à toute vitesse. Même si elle a vécu cette situation, il n’a pas changé.
- Elle porte encore des cicatrices de son accident et a perdu partiellement l’usage de sa main gauche.
- Son Amortentia c'est le feu de cheminé.
- Dispose d'un Diplôme de l’institut magique des sciences (IMS) option potion qu'elle a passé en Angleterre, par correspondance.
- Possède toujours sa batte de Quidditch de quand elle était professionnelle. Elle a aussi un Cognard trafiquée enfermé dans une boite. Elle le sort parfois pour donner des coups dedans avec sa batte. La rumeur dit qu'elle a aussi un Quot quelque part. Ces trois objets se trouvent dans un sac sans fond qu'elle porte en permanence sur elle, ce sont comme des talismans pour elle. Parfois l’un d’eux sors en plein cours pour aller frapper un élève un peu trop dissipé, l’envoyant à l’infirmerie.